Daniela Forrester
Une petite citation ici.
Nom › Forrester, de la Team Forrester comme le disais si bien maman. Prénoms › Daniela, en l'honneur d'une hotesse de l'air que papa trouvait jolie quand maman était enceinte, et Jean, comme ma grand mère maternelle. Date et lieu de naissance › 24 janvier 1991. Age › Je vais avoir 23 ans dans quelques semaines. Situation › Célibataire. Orientation sexuelle › Hétérosexuelle, sauf une fois au collège. Ville de départ › Nous étions près de Maple Ridge, dans un camping. Ancien métier › J'étudiais pour devenir professeur d'éducation physique. Capacités › Principalement, tout ce qui a attrait au physique, à l'endurance. Ayant fait du sport toute ma vie avec mon père, et à l'école, et voulant devenir professeur d'EP, je suis devenue souple et agile, et très endurante. J'ai aussi fait du tir de précision et du tir de cible avec mon père dans les dernières années en secret de ma mère qui haïssait les fusils. Pour le reste, elle en a appris beaucoup en peu de temps - elle a une facilité à aquérir des capacités rapidement. Caractère › Forte de caractère. Fragile. Mature. Indépendante. Froide. Rancunière. Protectrice. Autoritaire. Émotivement vulnérable. Blagueuse, du moins, elle l'étaqit beaucoup. Elle a beaucoup changé depuis le temps... Groupe › Pariah. Rôle › - Avatar › Britt Robertson. Crédit › ici
COMMENT ÉTAIT TA VIE AVANT? Normale - avant, ma vie était tout ce qui se faisait de plus normal. dans le collège communautaire de mon district, j'étudiais pour devenir professeure d'éducation physique, jonglant avec un travail de serveuse et plusieurs activités sportives en parascolaire pour avoir plus de crédits. Je n'avais pas de petit ami tout simplement parce que je n'avais pas le temps de gérer une relation en plus de tout le reste. avec la famille, ça allais bien - j'habitais encore avec mes parents, parce que c'était plus simple comme ça. Je m'entendais bien avec eux, et avec mes frères et ma sœur. À ce moment là, je ne croyais pas que ma vie était bonne, mais avec du recul, j'avais la meilleure vie possible.
QUEL EST TON ÉTAT D'ESPRIT AUJOURD'HUI? Avant, j'étais une fille pétillante, amusante, passionnée et extrovertie - aujourd'hui, c'est plutôt différent. Je suis devenue cynique, et j'ai les émotions sont toutes à l'envers. Je suis endommagée. Il y a quelques jours, Cohen m'a dit qu'il ne me reconnaissait plus. Il avait raison. Je ne suis plus que l'ombre de ce que j'étais. Ça fais si longtemps que je n'ai pas eu un vrai éclat de rire. J'ai besoin d'être froide et détachée. Si je ne le fais pas, je vais devenir folle.
COMBIEN DE PROCHES A TU PERDU ET COMMENT LE VIS TU? Je n'ai perdu qu'une seule personne, et c'est ma soeur Juliet. Et c'est moi qui lui ait mis une balle dans la tête. Je ne crois pas avoir besoin de dire autre chose à ce sujet, parce que ça fais trop mal.
POURQUOI N'EST TU PAS DANS UN CAMP? Je ne suis dans aucun camp car je ne fais simplement pas confiance à personne. On a croisé des gens mal intentionnés depuis le début de cette frénésie, et j'ai de la difficulté à faire confiance aux nouveaux venus. Je sais que ce sera nécessaire, cependant, pour aider Evan à guérir.
PENSES-TU SURVIVRE ENCORE LONGTEMPS DANS UN TEL CHAOS? Je n'en ai sincèrement aucune idée. Si nous continuons sur cette lancée et que nous ne trouvons personne pour nous aider, il ne restera que Cohen et moi d'ici peu. Et à deux, on peut survivre un moment. Mais pas si longtemps... le futur me semble assez sombre.
COMBIEN DE MARCHEURS AS-TU TUÉ ? Beaucoup. C'est devenu facile. Au début, c'était plus dur de le faire - ils étaient des humains avant de devenir des monstres. Mais maintenant c'est devenu une habitude.
COMBIEN DE PERSONNES AS-TU TUÉ? Deux - l'une de ces personnes était ma sœur. L'autre était un homme qui nous voulait du mal.
POURQUOI? Nous avons fait confiance à un homme une fois, mais il a tenté de s'en prendre aux deux jeunes pour nous voler toutes nos choses et nous tuer ensuite. Je n'ai fait que nous défendre.
show me what i'm looking fortrois jours après épidémie.« Cohen, donne moi le chandail noir dans ton sac, tu veux? » Ça faisais trois jours qu'on marchait en direction de nulle part, tous les cinq ensemble. On avais enfin trouvé une station d'essence qui n'avait pas été complètement vidée par quelqu'un d'autre. Les jumeaux montaient la garde du mieux qu'ils pouvaient, et Wyatt, Cohen et moi on s'est dirigés vers la station. Toutes les portes étaient barrées, alors j'ai proposé qu'on défonce la porte.
« Laisse faire Danny, je vais le faire. » avait-dit Wyatt d'un ton autoritaire, en prenant le chandail des mains de Cohen. Lui et moi avons échangé un de ces regards, roulant les yeux un peu.
6 mois après l'épidémie.Ma belle Juliet. Ma petite perle, ma poupée de porcelaine. Quand elle est née, j'ai dit à maman que c'était mon bébé. Qu'elle pouvait avoir l'autre, mais que Juliet était à moi.
« Cohen, va dans le RV s'il te plait... » Cette époque était révolue. La nuit passée, Juliet s'est fait mordre par un marcheur, et ça a tout changé.
« ... pourquoi? » Il savait pourquoi. et la seule chose que j'ai pu faire, c'est baisser les yeux.
« ... j'ai besoin de quelques minutes avec elle. » On en avais parlé pendant la nuit - toute la nuit en fait. Il n'était pas d'accord avec l'idée, et avant même d'avoir mis l'idée en branle, il me maudissait. Mais il savait que c'était la seule solution. Je me suis mise à marcher, à penser, à tourner en rond, en cercles autour du RV jusqu'à ce que Cohen entre dans celui-ci sans même me regarder. J'ai pris Juliet dans mes bras, et je l'ai emmenée dans la forêt. Elle était si légère. Je n'avais pas réalisé à quel point elle était devenue maigre dans les dernières semaines. J'ai marché plusieurs minutes dans la forêt, jusqu'à l'endroit que j'avais choisi. C'était une petite clairière fleurie, féminine. Délicate, comme Juliet. Je me suis assise en indien avec Juliet toujours dans mes bras, et je l'ai bercée. Longtemps.
« ... ma petite poupée... » ai-je murmuré, une boule dans la gorge. Je crois avoir passé une heure à lui remémorer des souvenirs de notre jeunesse, de notre amour l'une pour l'autre. Je lui ai dit que je l'aimais, souvent. Pour toutes les fois ou je ne lui ai pas dit avant. Je savais qu'elle ne m'entendais plus, qu'elle n'était déjà plus vraiment avec nous. Son cœur ne battais presque plus. Je l'ai posée sur la couverture imbibée d'essence que j'avais préalablement mise au sommet de la colline, et je me suis éloignée de quelques pas. Elle avait l'air en paix. Je devais le faire vite, sinon je ne le ferais jamais. J'ai pris mon fusil à pompe et je me suis mise en position. J'ai fermé les yeux et ait pris une grande inspiration.
« Je t'aime. » J'ai ouvert les yeux, puis le coup de feu s'est fait entendre. J'étais certaine que les garçons l'avaient entendu. Et une fraction de secondes plus tard, tout est devenu silencieux. J'ai laissé tomber le fusil, et je me suis approchée de Juliet. Je ne devais pas perdre de temps. J'ai enroulé la couverture autour d'elle, et j'y ai mis le feu avec un briquet. Je me suis mise à reculer lentement, observant le feu grandissant. Hypnotisée. Éventuellement, mes jambes ont flanché, et je suis tombée. C'est à ce moment que je me suis mise à pleurer de façon incontrôlable. De gros sanglots. Je suis restée aux côtés de Juliet jusqu'à ce que le feu se soit éteint. J'étais complètement vide à l'intérieur. Je savais que je ne serais plus jamais pareille. Que notre famille ne serait plus la même.
i write sins not tragedies
Pseudo › KIM. Prénom › Kim. Pays › Québec, Canada. Age › 27 ans dans quelques semaines. Où avez-vous connu le forum › Via une autre membre. Votre avis dessus › Est-ce que j'ai vraiment besoin de décrire en long et en large comment j'aime? Voulez-vous réserver votre avatar › Oui! Le mot de la fin › ici