LA CAFETERIA › Malheureusement totalement déserte lors de leur arrivée, la cafétéria garde pourtant toujours sa même fonction aujourd’hui. C’est là que tous aiment se retrouver afin de partager leurs repas. Les tables ont d’ailleurs toutes étaient rassemblées au centre, afin de n’en former qu’une seule, pour que personne ne soit laissé de coté et qu’aucun petit groupe ne se forme. L’unité de groupe prime sur tout le reste.
LA SECTION HISTOIRE DES NATIFS › La section du musée réservée à l’histoire des natifs, n’avait pas encore était totalement désaffectée lors du début de l’épidémie. Elle est donc devenue une sorte de dortoir pour les survivants ayant élu domicile dans le musée. Ils se sont servis de ce qu’il restait dans les lieux afin de séparer l’immense pièce en de multiples petites chambres. Certains s’offusquent de voir des tapisseries d’une grande valeur utilisées désormais comme de simples rideaux. Mais c’est le prix pour un semblant d’intimité.
L'AILE SUR L'HISTOIRE NATURELLE › Cette aile du musée consacrée à l’histoire naturelle, a été partiellement vidée, y restent encore quelques squelettes de dinosaures, et autres ancêtres humanoïdes au milieu de fossiles de plantes oubliées. Derrière sa grande porte en chêne sculptée, celle-là même devant laquelle s’entassent de lourdes reproductions d’animaux disparus, sont amassés une horde de rôdeurs qui avaient réussi à s’introduire dans l’enceinte du musée. Cet endroit reste dangereux, même si tous sont sûrs que jamais ils ne pourront passer leur barrage de fortune. Mais ils préfèrent ne pas tenter de diable, et ne s’aventurent que rarement en ce lieu, sauf pour s’assurer que la porte tient toujours.
LA BOUTIQUE SOUVENIRS › La boutique souvenirs regorge encore de multiples cadeaux, qui semblent aujourd’hui totalement inutiles. Que faire d’une peluche en forme de T-Rex sérieusement ? Ou même d’une boule à neige bébé phoque ? Enfin, ils font le bonheur des plus jeunes, qui aiment jouer ici. Mais le soir venu, se sont les adultes qui s’y retrouvent, parfois pour passer simplement du temps tous ensemble, mais souvent pour parler de choses bien plus sérieuses en rapport à la survie de leur groupe.