Walter Ferdinand Mayweather

What I want, you've got but it might be hard to handle.

Nom › Mayweather, aucun rapport avec Floyd Money, le boxeur américain avec suffisamment de billets pour les utiliser comme papier toilette, même pour les invités. Et puis de toute manière, ce n'est pas avec sa peau blanche et son corps frêle que le Walter serait confondu avec le multiple champion mondial. Mayweather, c'est le patronyme d'une famille dont l'héritage remonte à la colonisation par les pères pèlerins lors de la création de cet été. De générations en générations, on a porté ce nom fièrement du côté des Mayweather, parfois un peu trop.  Prénoms › Walter, enfin plutôt Walter Junior, prénom que son père tenait à léguer à son fils. Pas du goût de l'adulte qui a du en subir la vétusté des années durant, notamment au collège, paroxysme de l'idiotie enfantine. Néanmoins, lorsque l'on sait que son second prénom est Ferdinand, en hommage au Saint, on apprend à faire profil bas. Date et lieu de naissance › Le jeune homme est né le 7 Mai 1985 à Grand Rapids dans le Michigan, petite bourgade bordant le lac éponyme. Petite ville balnéaire, le calme, les grands espaces, de quoi former un gosse à la rudesse de l'hiver. Age › Il approche dangereusement de la trentaine, celle d'un cap, d'une triste prise de conscience, d'autant plus tragique qu'elle aura lieu dans un monde aussi chaotique que celui-ci. Trente ans. Situation › Célibataire endurci, quelques amourettes de saison mais rien de plus. Sa difficulté à s'engager sentimentalement, mais principalement physiquement, avec sa dulcinée a fait de lui un homme relativement solitaire du côté de l'amour. Orientation sexuelle › Hétérosexuel, jamais Dieu ne lui pardonnerait de pécher avec un autre homme. Il n'avait même jamais envisagé la question. Ville de départ › Detroit dans le Michigan, le lieu de travail du brun. Certainement la ville la moins excitante des Etats-Unis (sauf Nova) depuis la chute de l'industrie automobile. Violence, ghettos, demeures abandonées et pauvreté à son summum. Ancien métier › Officier de police dans le district de Détroit. Talentueux, il grimpait dans la hiérarchie de sa division, briguant des responsabilités Capacités › Evidemment, pour un membre des forces de l'ordre, il maîtrise à la perfection les armes à feu, que ce soit des armes de poing ou bien des fusils bien plus violents. Dans son duo avec une certaine Nova, il est le seul a avoir le droit, imposé par lui, à toucher à un pistolet. Par précaution certes, même si la situation requiert n'importe quelle aide, mais principalement parce qu'il ne fait pas confiance à sa partenaire. De plus, le jeune homme est un vrai stratège, il a l'esprit tactique en ce qui concerne le terrain. Capable de piéger les rôdeurs, créer des diversions, il fait autant marcher son esprit que son doigt pour appuyer sur la gâchette. Caractère › courageux - perfectionniste - droit - pieux - fiable - ne fait pas confiance - fait pour la survie - têtu - persuasif - énervant Groupe › pariah Avatar › Joseph Gordon-Levitt Crédit › arn'

Comment était ta vie avant ? Rien de bien excitant ; étonnant pour un vierge cantonné à Detroit, la zone. Hormis l'adrénaline de quelques missions, son quotidien était bien fade. Un yaourt sans sucre, le truc parfaitement amère pour les femmes qui veulent perdre du poids pour l'été. Et malheureusement, il n avait pas de carré à rajouter. Très peu d'amis fidèles dans le coin, une vie amoureuse platonique avec son badge de police et un sens de la loyauté qui l'emportait sur des demandes de connaissances qui souhaitaient voir des amendes disparaître dans les méandres du district local. Pas de quoi faire bander un acteur porno. Quel est ton état d'esprit aujourd'hui ? Perdu, beaucoup trop. Il ne comprend toujours pas la raison pour laquelle Dieu a permis de telles monstruosités ici-bas, l'apocalypse. Néanmoins sa foi en la salvation demeure toujours présente.A vrai dire, il n'ose jamais penser au lendemain, la peur de se faire mordre par un rôdeur ou de se faire poignarder par une pourriture lapdanceuse l’oppressant. Ainsi, c'est dans un climat particulier, froid et éprouvant que l'ancien agent police tente d'évoluer aujourd'hui, ou plutôt de survivre. Combien de proches as-tu perdu et comment le vis-tu ? Il n'en a aucune idée. Fils unique, le coup de téléphone au domicile familial du côté de Grand Rapids n'a jamais donné suite. Etant très pragmatique, ne croyant que ce qu'il voit, il possède toujours en lui une lueur d'espoir comme quoi Walt Sr. et Octavia s'en sont sorties. Dieu ayant fait son boulot de les protéger. Te sens-tu bien dans ton camp ? Le brun n'a pas vraiment de camp à proprement parler, sa relation avec Nova ressemble plus à une alliance de circonstances dans laquelle les deux se complaisent tant qu'une morsure ne vienne pas ruiner leur harmonie apparente. Néanmoins, il n'est pas serein en compagnie seule de la brunette. Quand il y avait la gosse avec eux, une once de foi en l'humanité et l'honneur relatif de la strip-teaseuse le gardait de penser qu'elle allait lui ouvrir le bide devant les yeux apeurés de la gamine. A présent, il sent que la corde est raide et que le confort des couvertures qui grattent pourrait tout faire basculer. Penses-tu survivre encore longtemps dans un tel chaos ? Cela faisait déjà 9 mois qu'il traînait de ville en ville, de rôdeurs en rôdeurs, tout en gardant un score de non-mutation de 100% avec son compagnon de fatalité. Pourquoi ne pas continuer ? Et puis neuf mois sans engrosser, sur un malentendu, la lascive demoiselle, c'était ça le véritable exploit. Elle qui lui susurrait des mots doux à l'oreille tout en tentant de lui voler son arme de poing, lui caressait sensuellement la cuisse, Walter remerciait le Dieu quotidiennement pour la force qu'il lui offrait de combattre les avances du diable féminisé. Beaucoup aurait craquer aux propositions érotiques de Nova. Pas lui. Accepter serait peut-être synonyme de fin pour lui. Combien de marcheurs as-tu tué ? Beaucoup trop, il a arrêté de compter pour que son âme ne cède pas sous le poids du nombre. C'est le lot d'un quotidien apocalyptique, entre rôdeurs cherchant à se nourrir et humains cherchant à survivre parmi cette horde agressive. Lorsqu'il croise le regard vide de sens d'un marcheur, Walter évite de penser à la vie humaine qui a précédé ce changement radical. La vie est parfois beaucoup trop injuste. Et cette épidémie en l'ultime preuve. Combien de personnes as-tu tué ? Une seule. La gamine qui les accompagnait suite au décès de son père. Elle allait se transformer et il lui fallait éviter cette malédiction : se transformer en zombie sans foi ni loi. Ainsi, l'ancien agent de police s'en est occupé, sans aucun mot, sans aucune émotion. Il aurait aimé lui offrir plus, une sépulture digne de sa courte mais mémorable vie. Mais le temps pressait et un trou expéditif au bord de la route suffit. Une larme coula sur sa joue, la première fois qu'il prit le temps de pleurer sur le sort de l'humanité. Pourquoi ? Car il ne veut pas tuer d'autres humains, il a une confiance relative en eux, hormis Nova, et espère qu'ils se serreront les coudes tous ensemble face à la menace zombie. Il espère que cette apocalypse a effacé les vices et tords humains. Certainement son côté chrétien. Ou crétin, au choix.

i write sins not tragedies
Pseudo › arn' Prénom › par conséquent, arnaud, ça rime avec beaucoup de choses pas très catholiques. Pays › je suis un ancien suédois, je suis un vendéen fier. Age › vingt ans même si je parais moins mentalement. Où avez-vous connu le forum › grâce à Mamie Nova qui m'a menacé de m'émasculer.    Votre avis dessus › plutôt bon pour le moment, à voir avec le temps. Voulez-vous réserver votre avatar › oui Le mot de la fin › valar morghulis. Votre personnage > encore en réflexion (moyennement) poussée.

show me what i'm looking for
Si certains naissent avec la fibre judiciaire d’un monde égalitaire dans lequel tout le monde respecte et applique la loi, d’autres ne rejoignent cette voie que par ce qu’on pourrait appeler un malheur. Ou plutôt, pour être plus respectable, une expérience traumatisante. C’est le cas de Walter. Natif d’une petite bourgade balnéaire, dont le nombre d’habitants quadruplait sur la période des vacances d’été, l’adolescent avait l’habitude de traîner sur la plage, le soleil couchant, les grains de sable s’accrochant à sa peau rêche sous la voûte plantaire. Vision idyllique. Certes. Néanmoins, ce dont il fut le témoin l’était moins. Alors qu’il remontait la bande sablonneuse du lac Michigan, il se trouva nez-à-nez avec une bande de malfrats procédant à un échange de substances douteuses parmi les robustes troncs de pin couvrant les dunes. Quelle idée avait-il eu de se faufiler à travers les herbes folles pour rejoindre plus rapidement la demeure familiale bordant la côte. Il s’en voulait d’autant plus qu’un bruit de branche se rompant sous son pied maladroit attira l’attention des dealeurs qui, ni une ni deux, l’agrippèrent par la taille puis le bâillonnèrent avec une chaussette à l’odeur indescriptible. Celui qui s’appelait Pablo, propriétaire de l’objet nauséabond, devait avoir un panaris à faire frémir de terreur les podologues les plus chevronnés du coin. De l’ecstasy, de la cocaïne, de quoi rendre le lapin Duracel un peu plus vif s’échangeaient sous les yeux ébahis du Mayweather. Il était là, inutile, en position d’otage. Alors que la transaction touchait à sa fin, un homme, pesant facilement le double de ses soixante kilos tout mouillés, se saisit de l’adolescent et le flanqua avec brutalité à l’intérieur du coffre du 4x4 appartenant à l’une des deux bandes pernicieuse. La tête du brun heurta malencontreusement le coin, coupant le cuir chevelu et laissant perler des gouttes de sang sur son cou endolori. Rapidement, la tête de Walt se mit à tourner, la chaleur accablante de ce mois de Juillet n’aidant pas. A l’intérieur du coffre, l’air était irrespirable, caniculaire, agrémenté d’une odeur fromagère causée par un paquet qui devait traîner à l’emplacement où se trouvaient son nez depuis plusieurs jours déjà. Un relent pestilentiel qui plongea un peu plus l’otage dans un état second, transitoire entre le conscient et l’imaginaire. Pris de vertiges, Walt se tint le crâne de la main gauche et lorsqu’il posa ses doigts fins sur son cuir chevelu entrouvert, il sentit le liquide vermeil venir lui brûler les bouts du membre dans la pénombre ambiante. Il perdit connaissance.

Au loin, Walt entendit résonner une sourde détonation. Quelques secondes plus tard, des coups de feu s’échangèrent brièvement, couvrant des cris qui tentaient de s’élever par-dessus le vacarme ambiant. Soudain, la lumière fut. Ses yeux mirent plusieurs secondes à s’adapter à la frontale agressant ses fébriles paupières habituées aux ténèbres. Une voix rauque lui demanda de confirmer son identité. La surprise le fit balbutier quelques syllabes qui apparemment suffirent à l’inconnu lequel tout à coup le souleva et le déposa avec une surprenante facilité sur ses épaules musclées. Tout allait trop vite pour l’esprit de l’adolescent, perdu. Quelques années plus tard, assis au volant de son véhicule, il avait toujours du mal à mettre ses idées en ordre de bataille. Les corps gisant à l’entrée de la planque, laquelle avait été occupé pendant un mois durant, le temps du kidnapping du gamin, utilisé comme otage puis comme rançon contre la modique somme d’un million de dollars. Que ses parents n’avaient évidemment pas, prêtre catholique et enseignante au primaire qu’ils étaient. Un mois de recherches intempestives qui s’acheva ce 17 Août, à quatre heures trente du matin. La première chose que Walt entendit, ce fut Good Vibrations de Marky Mark feat The Funky Bunch, le titre iconique de l’acteur Mark Wahlberg qui passa sur les ondes de l’ambulance immaculée dépêchée sur les lieux. Le dos confortablement appuyé contre le siège en cuir de la voiture de police que Walter dirigeait aisément dans les rues désertes de Detroit, la chanson, sa madeleine de Proust, résonnait au sein de l’habitacle. Funky, cool pour certains, la chanson était devenue pour Walter une sorte d’échappatoire, une source de motivation dans son quotidien pas toujours agréable. En dépit de son désir de devenir le futur Wahlberg, il aspirait à servir son prochain comme les membres de cette force spéciale qui mirent leur vie en danger pour sauver son petit cul de blanc-bec s’étant foutu tout seul dans un bourbier incommensurable. Sa reconnaissance était infinie envers ses bras musclés, ses cerveaux carabinés à l’adrénaline alors il tentait de son côté de rendre la pareille. C’était pourquoi, après l’obtention de son diplôme attestant qu’il avait parachevé ses années lycéennes avec une note suffisante, l’adolescent s’inscrivit immédiatement en école de police pour atteindre son tout récent et découvert but : devenir agent de police. Servir autrui comme il le pouvait. Aspirant modèle, il passa les épreuves physiques comme celles cérébrales haut la main. Et le voilà donc aujourd’hui, membre de la brigade du 7th District de Detroit, bientôt responsable de celle-ci, a patrouillé au son de Marky Mark dans les rues pestiférées par la délinquance de l’ancien grand reflet  de la gloire américaine, Motor City.

Il étudiait encore et encore ces feuilles écornées, ses doigts masculins glissant le long des lignes dessinées par l’encre. Depuis plusieurs jours déjà, cette enquête lui avait été assignée. La sensation du papier rêche sur sa peau fragile rendait la réalité bien plus authentique. D’autant plus lorsqu’il se trouvait assis au volant de sa voiture de service, les néons fluorescents réverbérant leur lumière agressive sur son visage blême. Jamais dans sa vie il n’avait pensé mettre ses pieds dans un tel endroit mais la situation l’y obligeait. D’un geste soudain, sec, le fonctionnaire de police ouvrit la boite à gants du véhicule, y glissa alors à l’intérieur les feuilles qui se froissèrent un peu plus. L’homme ne faisait aucunement attention à la manière dont il les rangeait. D’un coup d’œil, il vérifia qu’il portait bien son badge de police à la taille, solidement ancré à son pantalon. Puis, il agrippa son arme de service, trônant de manière arrogante sur le siège passager, soulignant la puissance létale de l’officier de police. Walter s’échappa de l’engin puis, sans lever le regard, pénétra à l’intérieur d’un endroit où les pénétrations étaient pourtant interdites. Sans un sourire, il présenta son badge, à l’accueil, symbole d’autorité que même l’ambiance tamisée ne pouvait atténuer et réclama d’une voix ferme : « Chastity, s’il vous plait. » Toujours cette pointe de politesse et de respect qui faisait de lui une personnalité respectable et respectée. Tout le contraire de cette demoiselle. Quelques minutes plus tard, il fut invité à rejoindre une salle privée, plongée dans l’obscurité avec une bande-son érotique, de quoi laisser son esprit divaguer à tous désirs irrépressibles. Les cinquantenaires bedonnants qu’il croisait le regardèrent étrangement, comme menacé dans ce territoire où l’âge moyen était proche de l’infarctus et la testostérone roi. Comme le nombre de billets qu’on pouvait allonger. Soudain, une brunette le rejoignit, son siège privé collant de sueur le rendant tout aussi mal à l’aise que la présence envoutante de la demoiselle. Il l’observait de haut en bas, dans sa tenue échancrée, elle qui s’approchait à pas de loups. Certainement le même rythme langoureux qu’avec tous les autres animaux peuplant cette grotte infecte. La main froide qui se posa sur la peau nue de son torse, là où sa chemise immaculée était entrouverte, le fit frémir. Le contact était déjà un obstacle difficile qu’elle venait de franchir d’une facilité déconcertante avec le pourtant très pieux policier. Sa main continua de glisser le long du corps sec et musclé du jeune homme, descendant sur ses abdominaux jusqu’à s’arrêter juste au dessus de son bas-ventre. Elle n’y allait pas par quatre chemins, alors que de son autre main, elle agrippa la main de Walter et la posa farouchement sur son postérieur seulement couvert d’un fin tissu. Heureusement pour lui, l’obscurité ne permit pas à la brunette de voir son visage rougir intensément. Lui, l’homme vierge, était mal à l’aise. « Je crois que vous connaissiez Kendrick Jackson. » lança soudainement l’officier de police, son regard se plongeant dans les pupilles alertes de Chastity. Ou plutôt Nova comme l’indiquait son dossier. Le contact se fit, brutalement, moins sensuel et bien plus glacial.

AAAAAAAAHHHHHHHH  

Salut vous, on s'connait ?  

T'es lààà ! Et t'es sexy, comme d'hab. Et le titre.  RIP Ferdinand, Walter c'est cool, ça me fait penser à breaking bad.  
Ça fait trop plaisir de te voir céder Chaussette, prépare tes fesses !

Et mamie nova t'emmerde, valar morghulis

GARREEEEEEETTT (oui j'sors les Doss' )

Bien contente que Nova t'ait fouetté jusqu'ici, elle aura le droit à un cookie . Bon courage pour ta fiche, si t'as besoin d'infos ou de quoi que ce soit, hésite pas à nous Mp

BIENVENUE parmi nouuuuuuuuuuus et bon courage pour ta fichette!
J'approuve ce choix d'avatar, de pseudo, de titre et touuuuuuuuut quoi. J'ai hâte de voir ce que tu vas écrire sur ton personnage!

HAHFENHAFHEIAWF JGL QUOI !!!!!
Mon coeur saigne un petit peu vu que c'était un scénario pour mon ancien perso, mais ce choix de fouuuu JOTEM !!!
En tout cas hâte de découvrir ce que tu nous réserves avec ce perso ! Et bienvenue parmi nous

Salut toi, t'es secsy Dommage que je sois fiancée.
Bienvenue sur le forum ! Hâte de voir ce quel personnage tu vas faire avec une telle bouille

j'avoue que t'es sexy
bienvenue par ici

mamie x pas vous mais ces deux choses qui pointent. Ouais, j'y ai pensé à Walter White. Et t'es pas si mal que ça au final toi non plus. et mes fesses sont toujours préparées.

bobby x merci pour la réservation. niveau liens, on va vous laisser mijoter mais ça inclut pas mal de pole-dance.

darcy x très content que tout plaise alors ! et merci pour le message.

eve angeline x on m'appelle sous le nom du démon. et faut pas lui donner des cookies, c'est pas ce qu'il lui faut.

sawyer x merci pour le petit mot, ça fait plaisir. on t'a déjà dit que sur un de tes gifs de profil, on dirait que ton personnage est sur le trône ?

jamie x j'ai plus de doutes que l'acteur soit à la hauteur du personnage. merci pour l'accueil.

avalons x ah merde désolé. t'auras le droit à une compensation alors.

maxine x en quoi c'est un problème ? on peut toujours s'arranger.

hunter x merci bien. par contre, elle est longue ta cigarette.

drama x merci beaucoup pour le message. et j'espère que comme le camion de pompier, j'ai une grosse lance.

en tout cas, merci à tous pour votre superbe accueil !

Chuuuuuuuuuut , ça devait rester secret!
Mais puisque tu m'as démasqué, tu auras le droit à une place sur mon trône...
(en réalité on me l'avait jamais dit , mais tu as des idées un peu bizarres toiii )

Drama Reid a écrit:

Boooon, le pseudo ne peut que me faire penser à BB.

Ptdr mais la même. J'ai vu un Walter j'me suis mise à couiner et hyperventiler et puis j'ai vu la tronche et alors là.. Boom. Pregnant.
J'crois que là les zombies ils en voudront plus au cerveau mais carrément au corps ça peut être bien pour t'utiliser comme diversion, t'accepte de te trimballer torse-nu, recouvert de miel (quoi, les zomb' c'pas comme les fourmis ou les ours ?)

Bienvenue par ici en tout cas, t'es beau comme une coquille d'huître

JGL THE CUTIE épouse-moi
bienvenue ici et bonne chance pour ta fiche monsieur sexy walter !

sawyer x nan merci pour le trône, le mien me sied beaucoup mieux. :chope: Et oui, ça par contr eon me le dit souvent que je suis bizarre. :hihi:

naïs x roden ! merci pour l'accueil

dawn x content de pouvoir repeupler le monde. ouais ça peut le faire, avec du sang sur les tétons. merci en tout cas du message, et j'espère que tu mangeras l'intérieur de la coquille.

kit x on devrait pouvoir s'arranger mademoiselle Ikea. merci de l'accueil !

CHOIX DE FOU
et début prometteur.
Bienvenue à toi

Je réponds à sa place parce que le joueur a eu pas mal de merdes IRL cette semaine, il compte terminer sa fiche mais un délai ne serait pas de refus.

julian x merci pour le message, content que ça plaise.

charlie x j'ai pas mal de problèmes IRL donc ce serait possible d'avoir une bonne semaine de plus ? Merci d'avance.

nova x merci beaucoup, t'es parfaite.

Merci beaucoup, c'est ultra gentil.