Seth Isaac Grewal
This Hell you put me in
Nom › Grewal
Prénoms › Seth Isaac
Date et lieu de naissance › Le 14/05/1978
Age › 28 ans
Situation › Célibataire
Orientation sexuelle › Hétérosexuel
Ville de départ › Juneau
Ancien métier › Trafiquant / Doué dans le piratage informatique et le traçage / Travail avec des gangs mafieux / Voleur / Tueur à gage
Capacités › Endurance. / Chasse/Pêche/Piège. / Connaissance. / Combats / Caractère. / Je connais les armes grâce à mon ancien métier (enfin métier est un grand mot)
Caractère › Vif - Manipulateur - Rusé - Colérique - Direct - Aucune patience - Créatif - Têtu - Loyal - Hyperactif
Groupe › Pariah
Rôle › ici [valable pour les membres du Bunker, voir
ici]
Avatar › Tom Hiddleston
Crédit › Tumblr
Comment était ta vie avant ? Si nous pouvons nommer sa une vie … Disons que ça n’a jamais été le pur bonheur. Les parents cool, les enfants qui sont heureux, qui peuvent jouer, rire et s’amuser, non, c’était une vie de peur et de douleur. Tu t’endurcis, tu deviens méchant, amer, froid et tu n’as plus confiance en personne, mais à part ton frère, ta moitié. J'ai toujours eu une vie de vagabond avec mon frère, voler, faire du trafic, fréquenter des gangs et gagner de l'argent pour avoir de quoi nous nourrir, donc, disons que ça n'a jamais était le grand luxe. Tuer ou être tué, vivre dans l’adrénaline, connaître l’utilisation des armes, boire, fumer, c’est moche et alors ?
Quel est ton état d'esprit aujourd'hui ? Désorienté, surtout à cause de mon ouïe qui me fait défaut, puis ça vous arrive souvent de voir des morts se relever ? Je n'aurais pas mon frère, je serais sans doute déjà mort. Aujourd’hui je suis que plus renfermé et dur, je n’ai confiance en personne ce qui me rend sans doute que plus dangereux, il n’y a que mon frère qui compte, les autres peuvent mourir, c’est chacun pour soi, dans le fonds, ça l’a toujours été.
Combien de proches as-tu perdu et comment le vis-tu ? Ma mère mais c'était avant l'épidémie, sinon mise à part mon frère, je ne suis proche de personne, alors je n'ai perdu aucun proche.
Pourquoi n'es-tu pas dans un camp ? Je ne parle pas aux vaches que je connais pas, pour le moment je suis avec mon frère, nous nous débrouillons comme nous pouvons, peut-être qu'un jour nous aurons un camp. Puis obéir aux ordres, très peu pour moi, je veux être libre, non enchaîné dans une cage, voila comment je vois un camp, une prison avec des gardes qui donnent des ordres, tout ce que j’ai toujours fui.
Penses-tu survivre encore longtemps dans un tel chaos ? Sans mon frère ... Honnêtement je dirais pas très longtemps
Combien de marcheurs as-tu tué ? J'ai arrêté de calculer
Combien de personnes as-tu tué ? La même réponse qu'à la précédente question, j'ai même déjà tué avant l'épidémie, il fallait bien gagner de l'argent.
Pourquoi ? Avant c'était pour l'argent, maintenant c'est quand j'ai vraiment besoin de quelque chose , et que la personne ne cède pas, genre de la nourriture.
show me what i'm looking forParfois le hasard fait bien les choses, parfois non … Il arrive que l’on se demande pourquoi on est né ? Pourquoi autant souffrir si c’est pour ne jamais y trouver quelque chose de bon ? Mais nous avons tous une raison d’exister, même si pour cela il nous faut affronter l’enfer.
J’ai passé mon enfance dans une vieille maison, ou tout simplement une maison mal entretenue, avec pour parents un père violent et alcoolique et une mère qui avait bien trop peur de se retrouver seule, sans argent, vue que c’était lui qui ramenait juste de quoi nourrir la maison.
Nous étions les fardeaux du mâle, ou ses jouets - sans doute les deux - une femme et deux jumeaux, deux garçons qui ont dû apprendre rapidement à se débrouiller seuls.
Pour commencer, deux petits garçons inséparables, jamais l’un sans l’autre, deux petits garçons apprenant parfois tout deux à vivre dans ce monde sans un adulte auprès d’eux, que se soit dans les bois, ou dans des parties pauvres d’une ville très proche.
Deux petits garçons pleurant ensemble, se réconfortant, pansant leurs plaies ensemble.
Survivre et non pas vivre. Aller à l’école mais réussir à se cacher du regard des autres, faire ses devoirs, apprendre un maximum de chose, puis devenir mature mais tout en restant des enfants. Il y a eu des jeux dans la cour de récréation, des petites bagarres enfantines mais l'école était davantage un lieu de détente qu‘un lieu à craindre.
Puis par la suite, ils devaient apprendre et tester soi-mêmes leurs trouvailles : chasser un lapin en forêt et apprendre à le dépecer avant de le faire cuire, ajouter les herbes, les plantes … Puis plus tard le maniements des armes. Deux garçons bien trop jeunes pour apprendre tout seuls ce genre de chose, mais avec un père ivre qui ne se nourrit que d’alcool et une mère qui reste à peine éveillée, les garçons doivent apprendre à se débrouiller seuls.
Voila comment je décrirais le début de mon enfance ~
Je m’appel Seth et mon frère Aaron.
Nous vivions dans une maison isolée, dans un quartier pauvre ou il n’est pas rare de voir des bouteilles d’alcool en guise de décoration dans les jardins.
Mais il y a aussi les personnes qui ont peu et qui pourtant luttent ensemble, des personnes solidaires. Avec mon frère nous n’avions pas eu cette chance.
Notre père, on le craignait. Notre mère... bien je ne pourrais dire exactement ce qu’elle pensait de nous vu qu’elle préférait rester dans sa chambre à déprimer, à fumer cigarette sur cigarette, ne luttant même plus contre son mari.
Deux petits frères qui se blottissent l’un contre l’autre la nuit, ayant pour chambre le grenier. Tout deux tremblant au moindre bruit, sursautant, mais le paternel a besoin de distraction alors il viendra forcément un jour ou l’autre. Nous sommes des fardeaux, ils nous traitaient comme si nous devions regretter notre venue au monde et le plus souvent, après que notre patriarche ait passé ses nerfs sur nous, nous finissions tout deux dans la salle de bain à panser nos plaies.
Aaron, mon frère, était celui qui me maintenait la tête hors de l’eau car étrangement, des deux jumeaux, il était celui qui se conduisait comme le grand frère. Il appréciait ce rôle de protecteur, un trait de caractère différent comparé à moi.
Aaron est plus sage et réfléchi tandis que moi je fonce dans le tas et m’attire rapidement des ennuis.
Aller à l’école pouvait être agréable, comme insupportable, surtout l'école secondaire. Mon frère était toujours là pour me retenir car évidemment, les gens sont méchants entre eux, même les enfants, alors on nous provoquait. Aaron gardait son sang-froid, moi je voulais me jeter sur les autres. Seulement, cela n'allait qu'attirer davantage les foudres de notre père, alors j'écoutais mon jumeau car tant que nous étions tout les deux, même si nous rentrions dans l‘adolescence, rien de pire ne pouvait nous arriver … Du moins, c’est ce que je croyais.
Après tellement d’année à apprendre à ne pas se faire remarquer, après tant d’année à savoir profiter du peu de bonheur qui vient à nous, après tant d’année à avoir peur, à trembler, à survivre, à devenir plus rapidement mature, jamais je n’aurais cru qu’il aurait fallu que je traverse une autre étape, aussi horrible soit-elle.
En cette soirée peu commune, avec Aaron nous avions 12 ans, nous étions tout les deux dans le salon à faire nos devoirs.
Mais comparé à d’habitude ce n’était pas la télévision que l’on pouvait entendre, mais nos parents qui se disputaient violemment.
C’était bien la première fois que notre mère agissait ainsi, d’habitude elle faisait en sorte de n’être qu’une ombre, évitant même ses propres enfants.
Je ne sais vraiment pas ce qu’il s’était passé ce soir-là, Aaron non plus, mais après maints et maints hurlements, je pus voir que notre mère était partie à l‘étage, notre père ayant claqué la porte de la maison, sans doute pour aller se saouler dans un bar.
C’est au bout d’un moment que notre mère était redescendue de l‘étage, valises en main, hurlant à Aaron et moi que nous partions.
Voyant que celle-ci ne rigolait pas, qu’elle avait même les yeux injectés de sang, nous l’avons suivis sans poser de question.
Après tout, entre notre mère et notre père, il valait mieux suivre une personne qui n'allait pas nous mettre des coups pour rien et qui ne passait pas son temps à boire et fumer.
Dans la voiture je me posais des questions, où allions-nous ?
Notre mère roulait trop vite, bien trop vite, avec Aaron j’étais assis à l’arrière et l’on pouvait voir ses larmes couler, celle-ci regardant à peine la route.
Il faisait nuit, mon cœur battait la chamade, j’étais blottis contre mon frère, qu’allions-nous devenir ? Étions-nous enfin libre de notre père ? Je ne pouvais m’empêcher de me ronger les ongles et notre mère qui roulait trop vite... Aaron l’avait bien remarqué aussi et il voulut lui demander de ralentir mais elle ne l’écouta pas, il recommença, elle hurla.
Finalement c’est moi qui lui demanda de ralentir et celle-ci se retourna, sans doute pour me gronder, à vrai dire je ne le sus jamais, car je ne me rappel que d’un coup de klaxon et des phares aveuglants d’un camion fonçant tout droit sur le côté de notre voiture.
Un immense vacarme et plus rien, les ténèbres…
C’est comme si je venais de me réveiller d’un rêve ou d’un cauchemar, peu importe.
Tu cherches ce que ce qu’il se passe autour de toi, car évidemment tu ne comprends pas.
Où suis-je ? Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Tout est tellement brumeux…
Tu peux voir autour de toi que tu es dans une chambre avec des machines, l’une avec un goutte à goutte, l’autre qui ressemble à une télévision, tu as quelque chose qui pince ton index.
Tu es comateux, tu veux comprendre, te redresser et trouver des réponses à tes questions.
C’est ainsi perdu que finalement une infirmière vint me voir, puis voyant que j’étais réveillé, est allée appeler les médecins.
Pendant ce temps je constatais que des bandages entouraient mon torse, que j’avais une jambe plâtrée, la main droite bandée ainsi que le côté gauche du visage engourdis, mon oreille gauche ne cessant de sonner.
En voyant les médecins arriver, de suite j’avais voulu me reculer, fronçant des sourcils. Ceux-ci m’auscultaient, je voyais leurs lèvres bouger, mais pratiquement aucun son ne sortait, je ne comprenais pas, j’étais perdu, je voulais mon frère!
Je voulais qu’on me laisse tranquille, alors la seule chose que j’ai pu dire, la seule question que j’ai pus poser fut :
- Où est mon frère ?Mais je n’entendis pas le son de ma voix, les yeux écarquillaient d’horreur, je pris une profonde inspiration avant de hurler :
- OU ES MON FRÈRE !?Les médecins avaient de nouveau les lèvres qui bougeaient, pendant que je restais affolé dans ce lit, me demandant ce qui m’arrivait.
Les médecins soupirèrent et finalement il n‘en resta qu‘un, celui prenant une chaise et s’asseyant à mes côtés, puis notant sur un carnet.
-Tu as eu un grave accident de voiture, ton frère va bien, il est dans la chambre à côté, je suis désolé pour ta mère, nous pouvions rien fairePuis tout en lisant ces mots, de suite je fus rassurais pour mon frère, puis les larmes mon montèrent aux yeux à la fin de sa phrase, mais je devais rester fort, ne pas montrer mes sentiments à des étrangers.
Je voulus de nouveau parler, mais je ne m’entendais toujours pas, le médecin me fit signe de lire ce qu’il avait de nouveau écrit.
-Ton oreille gauche a subit des gros dommages, tu auras une aide auditive, pour le moment c’est normal que tu n’entende pas, mais tu seras aidé, le langage des signes par exempleSourd d’une oreille … Enfin presque sourd ? J’allais donc devenir un fardeau ?
Ce qu’il s’est passé ensuite ? C’est plus que flou. Le silence, le temps que je réalise peut-être, mais Aaron était dans la chambre à côté, alors cette fois-ci je pris le stylo et le bloc du médecin
-Je veux mon frère
-Bien sur, nous allons le transférer dans ta chambre cet après-midiAprès je ne pourrais vous dire ce qu’il s’est passé. J’ai été pris d’une sorte de grosse angoisse, enfin un traumatisme, appelez cela comme vous voulez, mais je suis resté inerte, les yeux ouverts, parfois à pleurer, parfois à penser pendant plusieurs semaines. Je ne mangeais pas, je ne bougeais pas.
Les médecins avaient deviné pour mon père en m’examinant ainsi que mon frère et en allant chez lui.
Aaron fut placé dans ma chambre et je réclamais sans cesse des câlins de mon frère, c’était trop d’un coup.
Un psychologue venait nous aussi et une autre personne pour nous apprendre le langage des signes.
J’avais 12 ans et on m’arrachait ma mère et une partie de mon ouïe comment la vie peut-elle être aussi cruelle ?
C’est au bout d’un an que finalement, ont fus prêt à aller en maison d’accueil.
Être dans une famille d’accueil était une seconde chance pour nous, seulement je n’avais plus l’envie de vivre, je n’y voyais aucun intérêt.
Alors j’ai juste fonctionné comme un robot, me renfermant complètement sur moi-même, ne parlant que très peu, gardant toujours un visage de marbre, sans émotion, bagarreur même, ne quittant pas mon frère.
Quand nous n’étions pas que tout les deux, je lui parlais en langage des signes, pour que personne ne comprenne ou je lui chuchotais des mots à son oreille, je n’étais jamais sur de moi, car lorsque je chuchotais, je ne pouvais pas m’entendre.
Mon père a fini en prison. Évidemment il lui a fallu un procès, nous avons du témoigner et honnêtement je pouvais l’entendre nous maudire que cela ne me faisait rien.
En famille d’accueil nous avons repris des études, moi, éloignant chaque individu qui s’approchait de moi d’un seul regard.
Puis il fallait bien que j’expulse cette colère qui s’amassait au fond de moi.
Le temps passe et avec mon frère, nous avions réussi à nous attirer les faveurs d’un gang, bien sûr nous en avions bavé au début mais qu’importe, nous avons appris à nous battre, à voler, à nous infiltrer et je devais dire que j’adorais réussir quelque chose que très peu de personne osent faire, transgresser la loi.
Oui nous avons traîné dans les bars, appris la mécanique, puis les armes, nous avons fumé du crack, pris du crack, un bon moyen de s’évader.
Plus je grandissais, plus j’avais ce besoin absolu de tout contrôler et que l’on m’offre du respect.
Notre famille d’accueil avait des doutes, des questions ont étaient posées mais je me contentais de hausser les épaules, jouant très bien le jeu de l’adolescent « épanoui » qui en réalité s’autodétruit.
Une fois que nous fûmes majeur, nous pûmes enfin prendre notre liberté, un sentiment si euphorisant.
Je pouvais encore rentrer dans des colères noires, ou je pouvais devenir violent envers moi-même ou envers les autres, je pouvais même dire que j’étais dangereux dans ces moments-là, il n’y avait que mon frère pour me calmer.
Fréquentant des gangs de plus en plus « mafieux » , ont tuait pour de l’argent, nous devenions des voleurs expérimenté en infiltration, car peu importe ont revenais à moitié crevé, le but était de ce surpasser, surtout moi, j’adorais me mettre en danger.
Bientôt, cela devint tellement immense qu’on fus connu de la police et commença alors le jeu du chat et de la souris.
Ont ne cessait de leur glisser à chaque fois entre les doigts.
C’est médiocre de vivre contre la loi va-t-on me dire, après tout nous étions libre.
Comment oublier cette journée ? Avec mon frère nous étions dans le repaire de l’un des gangs que l’ont fréquenté.
Je nettoyais mon arme calmement, écoutant de temps à autre l’un des mecs du gang s’énerver parce qu’il n’avait plus de crack, on pouvait donc entendre les autres le railler, c’était une ambiance malsaine, mais assez familiale.
Jamais il n’y avait de coup gratuit, en général si tu te recevais une raclée, c’était que tu la méritais amplement.
Oui j’aimais cette vie, j’avais mon frère, de quoi manger, me défouler, de l’argent, un toit … Que demander de plus ? Puis arriva l’un des gars faisant partie du gang, il était en sueur et complètement affolé, ne cessant de trembler.
-Ta vue un fantôme mec ?Tout le monde pouffait de rire, moi je ne pus m’empêcher un léger sourire, avant que celui-ci ne reprenne.
-Non arrêtez je déconne pas! Dehors les gens se bouffent entre eux-Ouais ta fumé toi encore une fois-P*tain les mecs merde croyez moi! Regardez mon bras, une femme m’a mordue comme une sauvage!Effectivement il avait le bras en sang, nous hésitions à nous foutre de lui ou à commencer à le croire, puis une explosion, non des explosions …
Des hurlements de plus en plus proches, cette fois-ci je regardais Aaron alarmé et le rejoignis, avant que le mec qui avait été mordu ne tombe brusquement au sol raide mort.
Pas le temps de rester sans rien faire, avec mon frère c’était le moment de faire nos sacs, quelque chose n’allait pas … Je ne pouvais l’expliquer, personne ne pouvait l’expliquer, mais valait mieux se barrer.
De nouveau j’entendis un hurlement et me retournant, je fus horrifié de voir le gars qui était mort debout, en train de dévorer un autre gars.
~~~
Dehors c’était le chaos, le feu, les hurlements, le sang, des gens qui se mangent entre eux!
Avec mon frère nous avons fui pour trouver un abri, écoutant la radio quelque temps : les morts se relèvent.
Avec le temps, plus rien …
L’apocalypse ? Je n’en sais foutrement rien, mais dehors, des zombies rôdent, si nous nous faisons mordre, nous devenons comme eux.
Ils ne font pratiquement aucun bruit alors j’ai énormément de mal à les voir arriver, heureusement que mon frère est présent, d’ailleurs nous nous soutenons, comme toujours.
Je serais là pour lui il sera là pour moi.
Nous nous cachons dans une vieille cabane dans les bois, utilisant notre savoir pour survivre, nous allons en ville nous ravitailler, nous nous blottissons l’un contre l’autre lorsqu’il fait très froid, toujours ensemble, toujours unis.
Maintenant, il nous faut survivre … Mais combien de temps allons nous tenir ?
i write sins not tragediesPseudo › MissChainsaw
Prénom › Mélanie
Pays › France
Age › 24 ans
Où avez-vous connu le forum › Top-site
Votre avis dessus › ça fait longtemps que je voulais m'inscrire, mais il avait fermé, je suis heureuse de me voir à nouveau ouvert
Voulez-vous réserver votre avatar › oui
Le mot de la fin ›
Votre personnage › Depuis l'accident de voiture, Seth porte des aides auditives, il a donc appris le langage des signes avec son frère. Parfois pour que personne ne comprenne les frères, ils parlent en langage des signes.