Loan Ferguson
Run away, lost my mind.
Nom › Ferguson Prénoms › Loan Date et lieu de naissance › 14 Février 1994 Age › 20 ans Situation › Célibataire Orientation sexuelle › Hétérosexuelle Ville de départ › Pélican, à 115 kilomètres à l'ouest de Juneau.Ancien métier › Etudiante en médecine Capacités › Si au départ Loan ne pouvait compter que sur connaissances encore trop fragiles en médecine, en sept mois d'épidémies, elle a su évoluer à une vitesse fulgurante. Sa maîtrise des armes s'est bonifiée. Loan a un Ketana dont elle ne se sépare pas depuis cinq mois. Elle a également aussi beaucoup d’endurance suite au sport qu'elle aimait pratiquer à l’époque ou les morts ne peuplaient pas les rues. Caractère › Compréhensive - Forte tête - Capacité d'adaptation - Rancunière - Organisé - Manipulatrice - Intelligente - Vulgaire - Juste - Pas de juste milieu, elle est toujours dans l’extrême. Groupe › Pariah Avatar › Cara Delevingne Crédit › Pathos & tumblr
situation CLoan, assise en tailleur dans la cuisine de sa grand-mère, balançait son corps d'avant en arrière l'air apeuré. Elle était en état de choque. Face à elle, sur le sol, jonchait le corps encore chaud de sa grand mère maternelle. Elle était morte. Morte par sa faute. Cela faisait deux semaine que l’épidémie avait commencé et Loan avait naïvement cru que tout rentrerait dans l'ordre et que les autorités publiques ramèneraient le calme dans le pays. Elle avait aussi bêtement pensé que Pelican ne serait pas touché si rapidement. Mais elle s'était trompé. Ce matin là, elle s'était réveillé tôt. Elle était en vacances chez sa grand mère et devait se rendre au marché du coin pour faire quelques achats. Les repas du dimanche étaient sacré dans la famille et elle avait prévu la veille au soir de préparer un délicieux gratin.
'Mamie Karen' n'aimait pas trop que Loan se promène dehors après tout ce qu'elle entendait aux informations. Mais voila, Loan n'en faisait toujours qu'à sa tête. C'est pour cette raison qu'elle s'était levé si tôt d’ailleurs, elle voulait en profiter et partir pendant que sa grand mère dormait encore. Grossière erreur. En rentrant du marché, elle découvrit les prémices d'un chaos sans précédent. Trois morts vivants étaient abattus dans l'allée et trois autres se dirigeaient vers les habitants apeurés qui couraient dans tous les sens. Certains père de familles essayaient de les neutraliser. En voyant cela, Loan jeta ses sacs sur le sol et couru en direction de la maison familiale. Elle cru reconnaître sans grand mère au loin qui se frayait un chemin dans la foule pour la rejoindre. Loan poussa un hurlement en voyant l'un des rôdeurs mordre sa grand mère. Elle couru jusqu'à elle alors que deux hommes venaient enfin à bout du charognard. Le souffle court, et le cœur lourd, Loan poussa les hommes qui essayait de la retenir.
" Laissez la ! " cria-t-elle. En effet, un homme essayait déjà de mettre la grand mère en quarantaine.
" LAISSEZ LA !! " hurla-t-elle à nouveau en s'interposant cette fois-ci. Comme tout le monde, elle avait entendu les informations, comme tout le monde, elle savait qu'elle était infectée. Mais naïvement, elle pensait pouvoir faire quelque chose. Elle l’espérait. Elle aida sa grand mère à marcher jusqu'à leur maison et l'installa dans la cuisine avec elle. Tous les soins qu'elle lui donna ne servirent malheureusement à rien. Sa grand mère avait chaud et la fière commençait à augmenter de plus en plus rapidement. Elle voulu s'installer à même le sol, sur le carrelage froid, et Loan ne put lui refuser cela. Elle s'installa à coté d'elle pour la surveiller et lui venir en aide en cas de besoin. Seulement, Loan avait fait tout son possible, et les secours devaient arriver rapidement. Elle alluma la radio pour faire passer le temps et entendit qu'une attaque avait également éclatée dans une petite ville voisine provoquant plusieurs blessés cette fois ci. Le regard suppliant de sa grand mère lui brisa le cœur. Elle éteignit le poste et se rapprocha d'elle pour prendre sa tête dans ses bras.
" Je suis désolée, c'est ma faute ! " Les plaintes de sa grand mère devenait de plus en plus dures à entendre. Elle souffrait et Loan ne pouvait rien contre ça.
" Les secours vont arriver, courage. Je vais chercher mon téléphone pour les rappeler, j'en ai pour une seconde. " Loan essayait de rester calme face à cette situation et ne pas montrer son désarrois profond. Elle ne voulait pas inquiéter sa grand mère encore plus mais voila, elle voyait bien que sa respiration était de plus en plus irrégulière et obstruée. Elle se leva pour rejoindre sa chambre et récupérer son téléphone lorsqu'elle entendit un bruit sourd dans la cuisine. Elle se précipita jusque là et retrouva sa grand-mère étendue sur le sol.
Loan était donc assise face à sa grand mère. Elle entendait les gens frapper à sa porte frénétiquement mais elle ne pouvait détacher son regard de son corps. Elle resta la une, deux, trois, peut-être quatre heures. Elle n'en avait aucune idée. Son monde s’écroulait. Sa grand mère était morte par sa faute et elle savait que le plus dur était à venir. Lorsqu'elle entendit les premiers grognements, elle ne bougea pas, ne réalisant pas tout de suite que c'était
le moment. Sa grand mère ouvrit les yeux, et Loan déglutit en voyant la mort au fond de son iris vitreuse. Elle s'était munie d'un couteau de cuisine mais elle n'était plus sure d'y arriver. Elle voulait le faire, ça devait être elle et personne d'autre mais maintenant qu'elle était devant le fait accomplit, elle n'était plus sure de rien. Sa grand mère se redressa lentement et Loan fondit en larme en la voyant se diriger vers elle en rampant. Elle la repoussa de toute ses forces une première fois. Mais son corps gelé revint à elle avec plus de force et même si cela brisait Loan de devoir faire ça, elle n'avait pas le choix. Elle enfonça la lame dans la tête de sa grand mère d'un coup sec. Choquée, elle resta de longue minutes recroquevillé sur elle même sans bouger. Mais les tambourinement reprirent de plus belle sur la porte. Elle se redressa, essuya ses larmes et se dirigea dans sa chambre pour récupérer ces affaires. Il était hors de question qu'elle reste ici. Plus rien de la retenait et surtout, elle devait retrouver sa mère. Elle attrapa un vieux sac à dos ou elle fourra une bouteille d'eau, un paquet de biscuit, un briquet et des vêtements. C'est tout ce qu'elle avait pensé à prendre dans la confusion. Enfin, elle ouvrit la porte aux voisins qui s'étaient précipité devant la porte depuis qu'elle s'était enfermé avec sa grand mère. Les joues noircies par le mascara, elle ne leur accorda pas un regard, pas un mot et couru jusqu'à sa voiture qu'elle démarra en trombe.
situation DLoan donna un coup de pied dans la portière de sa voiture. 70 km ! Elle avait parcouru à peine 70 km. Sa mère se trouvait à Juneau et elle était encore bien loin d'ici. Furieuse, Loan attrapa son sac à dos dont elle sortit un blouson en cuir qu'elle enfila avec précipitation. Elle mit son sac sur ses épaules et abandonna le véhicule en plein milieu de la route, portière grande ouverte. Si elle devait y aller en marchant, c'est ce qu'elle ferait, mais dans ce cas, elle n'avait pas une minute de plus à perdre aussi bêtement. La nuit commençait à tomber et même si elle était morte de trouille, elle ne pouvait pas rester dans un lieu sans rien faire. Elle devait se rapprocher de sa mère le plus vite possible avant que tout cela dégénère. Elle marcha deux heures sans s’arrêter, mais à présent, il faisait nuit noire et Loan la peur l'envahissait sérieusement alors que le froid l’empêchait de se mouvoir comme elle le voulait. Un bruit derrière elle la fit sursauter. Sans même regarder, Loan se mit à courir le plus rapidement possible. Elle était sur une route très faiblement éclairée et la lisière du bois la faisait paniquer. Dieu seul sait ce que tous ces arbres pouvaient cacher. Elle couru au moins vingt minutes sans s’arrêter mais le froid avait engourdie ses jambes et elle due stopper sa course au bout d'un moment. Elle s'appuya contre un arbre pour reprendre sa respiration lorsqu'une main attrapa fermement son épaule. Elle poussa un cri de stupéfaction alors qu'un homme la jetait au sol.
" Tu crois que j'ai que ça à faire salope ? Te courir après ?! " Et, il lui infligea un coup de ranger en pleine face. Trou noir. Le lendemain, elle se réveilla dans un cabane dans le bois. Il y avait trois hommes et une femme. Un couple, leur fils et un ami de la famille d'après ce qu'elle avait comprit. Les yeux enflé, et la lèvres fendues, elle essaya de se redresser mais ses mains étaient liées. Elle était étendue sur le flanc droit et elle avait horriblement mal au ventre. L'homme qui l'avait poursuivit -l'ami du couple- lui avait donné de sacré coup de pieds avant de la transporter dans leur abris de fortune.
" De l'eau ? s'il vous plait... " dit-elle à voix basse. Loan avait la gorge sèche et elle avait presque l'impression de ne plus avoir de salive. La femme s'approcha d'elle, un air bienveillant sur le visage, et l'aida à boire quelque gorgée au goulot d'une bouteille.
" Il faut que vous me laissiez partir. Je dois retrouver ma mère. S'il vous plait... " Elle implorait du regard la femme qui devait probablement avoir l'age de sa mère. Mais c'est l'ami du couple qui prit la parole.
" Pas question, il y a des morts de partout, tu vas les attirer dans le coin si on te laisse partir. " Loan hocha vigoureusement la tête de gauche à droite.
" C'est faux, il n'y avait rien hier soir, ils n'ont pas pu se dépla... " " LA FERME !! " cria l'homme en bondissant de sa chaise pour se diriger vers elle l'air menaçant. Effrayée, Loan essaya de reculer du mieux qu'elle put sur le sol. Cet homme était dingue, son regard qui donnait froid dans le dos. Si elle le contrariait un peu trop, elle ne préférait pas imaginer ce qui allait lui arriver. Elle ferma les yeux avec force pour ne pas pleurer alors que les autres survivants guettaient pas la fenêtre à la recherche du moindre bruit.
Tout va s'arranger, tout va s'arranger, tout va s'arranger...Loan fut contrainte de rester deux mois avec ces individus dont elle ne connaissait rien. Elle ne pensait qu'à sa mère mais ils ne voulaient pas la laisser partir. Ils ne montraient parfois violent avec elle pour qu'elle reste. L'épidémie faisait rage et s'était très largement rependue. Loan avait tué pas mal de rôdeurs, elle avait cessé de les compter en dépassant la vingtaine. Un soir d'été, Greyson, l'ami du couple entraîna Loan à l’extérieur en prétendant avoir trouver un endroit pour ramasser des fruits dans le bois. Loan était épuisée, mais elle n'avait pas d'autre choix que de le suivre si elle ne voulait pas se prendre une bonne raclée comme celles qu'ils avait pour habitude de lui infliger à chaque fois qu'elle osait demander à partir. Lorsqu'ils furent assez loin de leur abris, il la plaqua violemment contre un arbre, attrapa son décolleté sur lequel il tira pour la dénuder et se plaqua contre elle pour l’empêcher de bouger alors qu'il déboutonner son pantalon prestement. Loan essaya de se débattre mais il était plus fort qu'elle. Ce soir là, Loan le garde gravé en elle pour toujours. Elle à vu l'atrocité de l'homme dans toute sa splendeur. Elle a vu l'homme revenir à son instinct animal. Rien n'avait pu l’arrêtait. Ni ses sanglots, ni ses cris qu'il étouffait. Ce connard l'avait violé... Une fois qu'il termina, il l'abandonna à son triste sort dans le bois, en pleine nuit. Loan resta au même endroit des heures sans bouger, lorsqu'un bruit l'interpella à quelque mettre. Ce monstre était-il revenu pour terminer le travail. Elle tourna légèrement la tête et tomba nez à nez avec un rôdeur. Elle ne chercha pas à se faire discrète. Loan se leva et se mit à courir le plus vite possible pour s'en aller de ce fichus bois une bonne fois pour toute. Elle erra seule comme une âme en peine pendant un long mois. Elle du faire preuve d'ingéniosité pour survivre. Elle trouva un ketana pendant cette période et ne s'en sépara plus jamais. Elle voulait retrouver Juneau pour retrouver sa mère mais elle était loin. Le groupe de survivant qui l'avait gardé en otage l'avait entraîné à l'opposé de Juneau. Alors, elle marchait. Des jours durant en prenant soin d’éviter les routes les plus fréquentées par les humains. Elle préférait de loin faire des détours ou tomber sur des morts plutôt que sur des humains. Elle n'avait plus confiance. Un matin, épuisée, elle décida de rejoindre les routes à la recherche d'un véhicule. Peut-être qu'elle pourrait trouver de quoi se ravitailler ou de quoi se changer au moins. Elle fouillait la deuxième voiture lorsqu'elle entendit un bruit à quelques pas. Elle s'avança, son sabre dans les mains, en direction du bruit suspect. Et ce qu'elle découvrit lui lança une recherche électrique dans tout le cœur. Comme s'il était piqué par un million d'aiguilles. Là, coincé sous un véhicule, l'homme qui l'avait violé un mois plus tôt.
" Eh petite, viens... Viens, aide moi. Sors moi de là, tu veux ? " Loan l'observa quelques seconde sans bouger. L'homme sourit lorsqu'il la vit enfin se diriger vers lui. Mais Loan ne l'aida pas. Au contraire, elle contourna le véhicule pour ouvrir le coté conducteur.
" Non non non, attends ! Aide moi putain ! SALOPE, AIDE MOI FAIS PAS CA ! " Loan voyait rouge. La haine qui l'envahissait peu à peu l’empêchait de réfléchir correctement. Elle declancha l’alarme du véhicule en bidouillant quelques files. Non seulement, elle ne l'aidera pas. Mais en plus, elle serait à l'origine de sa perte. Lui, n'avait pas hésiter à profiter d'elle comme si elle n'était pas humaine. Les rôdeurs attiré par le bruit s'occuperaient de lui. Loan n’écouta pas les protestation et lamentations de l'homme lorsqu'elle sortit de la voiture. Elle continua sa route sans même se retourner...
show me what i'm looking for† Loan est fille unique
† Elle a toujours été une petite fille choyée et elle à grandit avec beaucoup d'amour
† A 8 ans, elle perds son père dans un accident de voiture. Sa mère fait une dépression et elle va donc vivre quelques mois chez ses grands parents dont elle se rapproche énormément
† En grandissant, Loan a un intérêt très particulier pour le sport. Elle en pratiquera plusieurs ; GRS, judo, athlétisme et tennis
† A 12 ans, c'est son grand père qui décède des suite d'une longue bataille contre le cancer
† Dès lors, Loan se trouve une passion pour la médecine et elle jure de vouloir en faire son métier
† Elle n'est jamais tombé amoureuse et n'est d'ailleurs jamais sortit avec de garçon
† Son viol a été sa première expérience charnelle et la dernière
† Elle n'a plus aucune confiance en le genre humain
† Son but ultime est de retrouver sa mère puisqu'elle est la seule famille qui lui reste. Elle veut la protéger parce qu'elle sait que sa mère est fragile. Malheureusement, sa mère a été infecté quelques mois après l’épidémie mais elle ne le sait pas encore
† Elle a un Ketana qu'elle a trouvé sur un cadavre 2-3 mois après l'épidémie. Depuis, elle ne le quitte plus
† Loan déteste tuer les rôdeurs mais elle le fait bien, à la base, elle voulait faire de sa vie un vaste combat contre la maladie et sauver des gens
† Loan est seule depuis bientôt 5 mois
† Elle a commencé à fumer lorsqu'elle a trouvé des paquets de cigarette en pillant les sacs des cadavres
† Elle n'a plus vraiment d'espoir en quoi que se soit. Son caractère habituellement optimiste a bien changé et la solitude n'a rien arrangé
† Elle vient tout juste d'arriver dans les alentours de Juneau et commence à guetter ce qu'il s'y passe
†i write sins not tragediesPseudo › Mymy
Prénom › Myriam
Pays › France
Age › 22 ans
Où avez-vous connu le forum › Bazzart
Votre avis dessus › Sympa
Voulez-vous réserver votre avatar › oui mais le truc c'est que je ne suis pas encore décidé. J'hesite entre trois avtars, j'ai besoin de vos avis : Cara delevingne, Kendall Jenner ou Willa Holland ?
Le mot de la fin › Coucou x)