Milla A. Woods
Fais pas ci, fait pas ça.
Nom › Woods Prénoms › Milla Arcadia Date et lieu de naissance › 05 Mai Age › 32 ans Situation › Je devrais dire qu'il y a pas de bonne ou de mauvaise situation... Tout se que vous avez à savoir c'est que je suis libre. Orientation sexuelle › Bisexuelle Ville de départ › New York Ancien métier › Journaliste trop impliquée Capacités › Endurance, Caractère, stratège et sait se servir d'un couteau Caractère › À l'attention des autres - Fuyarde -Souriante - Ironique - Rigolote - Impulsive - Sportive - Méfiante - Rusée - Curieuse Groupe › Bunker Rôle › Les Eclaireurs Avatar › Natalie Dormer Crédit ›Tumblr et Bazzart
Comment était ta vie avant ? Ma vie était épanouissante. J'allais prendre mon café le matin. Je dinais dans le dernier restaurant de NY : japonais, coréen, hot dog, hamburger... Le soir, c'était des discussion avec mes parents adoptifs. Il m'avait adopté avec ma soeur, Lyse, une petite chinoise. Mon éducation fut stricte à cause du métier de mon père (militaire). Ma mère était beaucoup plus douce. Elle était infirmière. J'avais jamais de problème. Elle me montrait comment me soigner. C'était bien. J'avais failli faire ambulancière même à un moment.
Quel est ton état d'esprit aujourd'hui ? Je suis forte, déterminée et je ne lâche pas l'affaire. J'arrive à tenir grâce à un but fixé : en savoir plus sur mes vrais parents. J'avais des renseignements sur eux. Même dans ce monde rempli de mangeur de cerveau, j'avais une chance de connaître mes origines. Ma soeur devait aussi m'y rejoindre. C'était mon point de ralliement. C'était la seule qui avait répondu à mon appel au début des épidémies.
Combien de proches as-tu perdu et comment le vis-tu ? Je ne sais pas s'ils sont morts. Je ne peux pas détailler sur ce sentiment. Il n'y a plus de communications. Les probabilités sont faible que je puisse les revoir un jour. Pourtant, je ne veux pas le savoir. Il y a des choses dans ce monde qui doit rester un mystère.
Te sens-tu bien dans ton camp ? Je sais pas trop. J'avoue que c'est pas la question que je me pose souvent. Je survis, mais cela reste agréable de pouvoir dormir un peu plus en sécurité sans la peur au ventre. Je sais simplement qu'il faut toujours se méfier des gens. Nous n'habitons plus dans un pays civilisé. La mort y règne.
Pourquoi n'es-tu pas dans un camp ? Pour l'instant, je fais comme cela m'arrange le mieux. Choisir un camp... Il faut s'impliquer et cela complique la situation.
Penses-tu survivre encore longtemps dans un tel chaos ? Oui, le temps qu'il faudra. Je ne vais pas m'amuser à compter les minutes. Je sais que je n'ai plus rien à perdre. Le temps est précieux. Je croque du coup la vie à pleine dent. C'est tout ce que vous devez savoir.
Combien de marcheurs as-tu tué ? Tous ceux qui ont essayé de me tuer. Une dizaine. Enfin pourquoi d'ailleurs je compterais le nombre de mort-vivants que je tue ? Vous croyez que j'ai que ça en tête ? J'avais l'itinéraire pour aller à ma destination.
Combien de personnes as-tu tué ? Aucune personne. Je n'ai jamais eu le cran. Je préfère fuir que de me salir les mains.
Pourquoi ? Tout simplement parce que je ne suis jamais resté longtemps avec des personnes. La fuite était le meilleur moyen de rester discret et d'assurer ses arrières avec un petit sacrifice. Vous savez. Les héros sont seulement dans un cimetière. Et cela ne m'intéresse pas.
show me what i'm looking for À la une des journaux, on pouvait lire un article qui montrait des meurtres sanglants dans le parc de Central Park. Bizarrement, je remarquais que les policiers étaient accompagnés de militaire. Mon instinct de journaliste savait que j’allais trouver une super occasion pour faire un article. Il fallait que je trouve ce qu’il y avait à l’intérieur. Je voyais déjà un groupe de journaliste en train de questionner le responsable de la police. Je désirais des explications sur les militaires. Une infiltration, c’était ce que je fis. Il faisait nuit. Cela allait être beaucoup plus facile. Je me dirigeais dans l’arrière d’un régiment. Je piquais une veste militaire pour commencer mon infiltration. Je me cachais derrière un camion pour entendre une conversation entre deux soldats.
- Je suis sérieux. On a retrouvé Larry du deuxième régiment. Il était complètement fou. Il s’est jeté sur Andrews !
- Ce n’est pas drôle.
- Non ! Je ne rigole pas ! C’était bien vrai. Il lui manquait aussi une partie de sa joue. Ça s’en mauvais. Ils l’ont emmené à l’infirmerie.
- Tu crois quoi ! On n’est pas dans un film de Roméro.
L’infirmerie. C’était mon objectif. Elle devait être bien gardée. Je me rendis vers là-bas. Une chose clochait. C’était qu’il n’y avait personne pour garder l’accueil. Personne dans les alentour, il fallait que je rentre dedans. Je m’avançais. Un pied après l’autre. Délicatement. Ma respiration était basse. Je tirais le rideau pour voir dans la tente de secours pour voir une scène qui allait être que le commencement de mes cauchemars. La lumière clignotait frénétiquement en se balançant de gauche à droite pour voir deux hommes en train de manger dans l’abdomen du garde de la tente. Une de ses choses leva sa tête vers moi. Je pense que cela devait être Larry. Il lui manquait une grande partie de sa joue. J’étais scotché sur place comme un lapin quand il voyait une voiture lui foncer dessus. Pourtant, Larry s’avançait vers moi lentement. Un long soupir s’échappa de sa gorge. Merde. Merde. Il fallait que je me casse. Quand je me retournai pour partir en courant, je rentrais dans une personne à quelque mètre de la tente. Il fallait que je parte. Ce n’était pas bon. Vraiment pas bon. Le militaire me verbalisa.
- Madame ! Vous n’avez pas le droit d’être là ! Qui vous a donné les autorisations !?! Votre identité !?! Tout de suite.
- Il faut partir. Il y a des zombies dedans. Vous savez comme dans les films. …
- Soyez cohérente. Votre identité, je ne le répéterais pas une nouvelle fois. Dit-il en sortant son arme.
- Milla Woods, je travaille comme Journali…
Elle vit le zombie sortir de la tente. Il titubait maladroitement. La lumière artificielle montrait toutes les imperfections de son visage. J’avais envie de crier. J’avais envie de fuir. Cela n’allait pas arranger. Le soldat resta sceptique. Il s’approcha de lui en tendant son bras.
- Veuillez retourner dans la tente, soldat. Vous n’avez pas l’autorisation de sortir.
Comprenait-il que cela ne servait à rien ! Il semblait m’avoir oublié. Je n’étais plus une priorité. Loin de là. Le zombie le mordit à la main. Ce fut le commencement. La toute première fois que je croisais un zombie. Je crois que c’était la première fois aussi que je me rendais compte que les films de Roméro étaient bien gentils à côté. La réalité était bien plus effrayante. Il fallait que je suive les règles de cet autre film. Il fallait que je garde la tête sur les épaules pour le moment. Il était hors de question que je me fasse mordre ou que je meurs tuer par un zombie. J’étais beaucoup plus forte que ça. Il fallait que je cours. Je sortis rapidement comme un lapin. Je me rappelle plus trop comment j’ai pu le faire. Je sais juste que je m’étais rendu à mon appartement pour remplir mon sac de provisions. J’avais un couteau de cuisine avec moi comme arme au cas où. Il fallait surtout que je sois en mode furtif. Mon premier objectif fut de partir de la ville. Je ne voulais pas rejoindre un centre de réfugié. Je me mis directement sur la route. Je remarquais très rapidement toutes les horreurs que je pouvais rencontrer. C’était assez perturbant. L’être humain était mauvais. Un zombie était presque sain à côté. Il voulait simplement manger. Je vis des hommes perdre le contrôle. Des femmes devinrent de vraies garces. Le vrai caractère des gens ressortait souvent à ce moment-là. Je savais que je devais prendre la route pour retrouver mes origines. Je ne voulais pas mourir sans rien savoir si mes vrais parents. On m’avait placé sous X à la naissance. Il fallait que je continue de suivre la dernière trace. Je n’avais plus de travail. C’était la fin du monde. Je me rappellerais toujours des paroles de Jack London que j’avais lu dans un livre : « Il fallait tuer ou être tuer, manger ou être mangé : c’était la loi primitive, et à cet ordre sorti des entrailles du temps, il obéissait. » . La loi primitive était encore plus forte que la loi martiale. Il ne fallait jamais en douter.
Je rencontrais des groupes sur le chemin. Ils n’étaient pas tous bons. J’ai rencontré un premier groupe où il ne voulait pas prendre conscience de la menace. Il ne voulait pas croire que leur enfant, leur famille, leur amant, leur mari, leur femme ou n’importe quel être cher entre autres, étaient morts. Ils étaient devenus des ennemis. Il fallait fuir. Il fallait les tuer. Pourtant, ce fut la perte du premier groupe. Le second groupe était plus réaliste et plus mauvais. Ils avaient passé trop de temps sur la route. Les femmes avaient été abusées par des hommes de passage. Il s’était renfermé. J’avais du faire mes preuves. J’avais la chance de pouvoir courir rapidement. J’avais de l’endurance et j’étais devenue douée avec mon couteau. J’avoue que j’avais un passe-temps de toujours tirer avec mon couteau. J’avais trouvé un jeu dans une armurière. Un pistolet ? C’était simple à utiliser. Il fallait viser la tête, mais cela faisait trop de bruit. Je savais que cela pouvait attirer les hordes. Je l’appris au détriment du deuxième groupe. Je m’enfuis de justesse. J’étais partie dans la forêt. J’avais détalé comme un lapin une deuxième fois. Les branches avaient griffé mon visage.
Après quelques mois de solitudes, j’étais finalement tombé sur un bunker. J’étais rentré dedans. Cependant, je n’étais pas le genre de personne à croire ce qu’on lui disait. Je voulais les faits. J’étais arrivée vers cette ville qui détonnait plein d’information sur mes origines. Il fallait que je tienne dedans juste le temps dont j’avais besoin. Après, qu’est-ce que je devrais faire ? Je ne sais pas. Je me suis rendu dans ce bunker. J’ai participé à la vie de la communauté. Il le fallait bien. Cependant, je ne baissais pas ma garde. Je n’avais pas le droit de la baisser. Je voulais vivre.
i write sins not tragediesPseudo › Bouah. Sans importance
Prénom › Nadia
Pays › France
Age › 23 ans
Où avez-vous connu le forum › Bazzart
Votre avis dessus › J'aime bien. <3
Voulez-vous réserver votre avatar › oui
Le mot de la fin › J'ai hâte de faire du rp parmi vous
Votre personnage › Une journaliste qui recherche ses origines qui se trouvent vers une ville à proximité du Bunker. Elle est très débrouillarde et assez drôle. Et calculatrice.