Melinda Chatterton

Give me the burden, give me the blame
I’ll shoulder the load, and I’ll swallow the shame
Give me the burden, give me the blame
How many, how many Hail Marys is it gonna take?

Nom › Chatterton. Prénoms › Melinda, plus communément appelée Linda. Date et lieu de naissance › 22 janvier 1996 à Kenai, non loin de Sterling. Age › Dix-neuf ans, mais elle mentalement elle en fait beaucoup plus depuis quelques temps. Situation › Célibataire et actuellement, elle ne voit pas trop l'intérêt de chercher l'amour, plus préoccupée pas sa survie et celle de sa famille. Orientation sexuelle › Hétérosexuelle. Ville de départ › Linda était au lycée de Kenai quand tout a commencé, elle a vite rejoint son frère Jamie à l'hopital du village pour ensuite rejoindre leur mère et leur soeur à Sterling. Ancien métier › Etudiante au lycée, elle travaillait également à mi-temps au club de rafting en compagnie de sa mère. Linda a suivi une formation quand elle avait seize afin d'être monitrice pour les enfants.  Capacités › Linda est rapidement devenue douée avec les armes blanches, elle se sert très bien de sa barre de fer depuis le début de l'invasion. Elle a récemment trouvé une hache dont elle adore se servir. Par contre, elle n'aime pas les armes à feu, trop de bruits et elle n'aime pas le recul de l'arme. En dehors de ça, elle est prête à tout pour défendre et protéger les siens. Caractère › Linda a bien changé en une année, avant elle était plutôt timide, gentille, douce, à l'écoute, fleur-bleue, maladroite. Cela dit, elle a bien changé depuis l'invasion. Elle est devenue plus froide, plus forte, plus maline. Elle a toujours été débrouillarde et intelligente. Mais elle est aussi rude, colérique, impulsive. Elle est cela dit loyale à son groupe et sait se tenir en leur compagnie. Groupe › Pariah. Rôle › Elle fait partie du même groupe de nomade que sa famille et elle est celle qui les défendra jusqu'au bout. C'est une guerrière. Avatar › Shelley Hennig. Crédit › Tumblr.

Comment était ta vie avant ? Sa vie d'avant était tranquille, Melinda ne s'en plagnait pas, la pauvret ne la dérangeait absolument pas. Elle aidait comme elle pouvait, a vite trouvé un travail à mi-temps. Linda était plutôt dans sa bulle, même si plutôt réaliste. En tant que benjamine, elle a toujours été plus couvée que les autres, non pas que cela la dérangeait. Elle s'est rapidement rendue compte que ses parents ne s'entendaient plus, même si elle n'en parlait pas, elle a bien accepté leur séparation et n'a pas vraiment choisi de côté. Comprenant les deux. En fait, Linda était heureuse et ne se plaignait de rien.Quel est ton état d'esprit aujourd'hui ? Aujourd'hui, Linda est terriblement terre à terre. Si elle passait son temps à sourire, à aider son prochain, à croire que tout irait bien: son côté optimiste s'est totalement envolée. Elle protégera les siens jusqu'au bout, quoiqu'il arrive. Elle n'hésite absolument jamais à tuer un rodeur, brute comme elle est devenue. Cela dit, il y a certaines choses qu'elle n'a pas perdu: elle fait attention à sa famille, même si elle ne montre peut-être pas aussi bien qu'avant. Linda les aime plus que tout. Combien de proches as-tu perdu et comment le vis-tu ? Melinda a perdu sa mère, elle s'est fait mordre par un rodeur et son frère a achevé ses souffrances. Ce qu'elle a totalement compris et accepté. Certes, elle n'a peut-être pas totalement fait son deuil, mais elle en fait totalement abstraction. Linda croyait avoir également perdu son père, mais non, celui-ci est en vie et elle en est très heureuse. Pourquoi n'es-tu pas dans un camp ? Melinda n'est pas dans un camp, parce qu'elle suit sa famille, plus précisément Jamie, son grand-frère, leader de leur groupe de nomades qui se compose des membres de leur famille et d'un ami de leur père. Melinda se fout complètement d'être dans un camp, tout ce qui l'importe, c'est d'être avec sa famille. Le reste n'est pas important à ses yeux. Penses-tu survivre encore longtemps dans un tel chaos ? Au départ, Linda était plutôt mal barrée. Sauf qu'elle s'est très vite endurcies. Devevant la guerrière que personne n'attendait. Alors oui, Melinda pense pouvoir survivre encore pas mal de temps. Le temps qu'il faudra. Combien de marcheurs as-tu tué ? Linda n'a pas compté. Combien de personnes as-tu tué ? Melinda n'a tué personne, que des rodeurs, pas de personnes vivantes. Pourquoi ? La réponse est simple: il n'y a pas d'intérêt à tuer les vivants, elle le ferait si une personne devenait un danger pour son groupe, pour sa famille, mais sans ça, elle n'en fera rien. Quant aux rodeurs, la réponse est simple: c'est eux ou les siens et ce choix est très vite fait.

i write sins not tragedies
Pseudo › Darley. Prénom › Mathilde Pays › France Age › Dix-neuf ans Où avez-vous connu le forum › Bazzart Votre avis dessus › Il est super et me fait penser qu'il faut que je finisse TWD. Voulez-vous réserver votre avatar › Pourquoi pas Le mot de la fin › Je vous aime déjà. Votre personnage › insérez ici un petit résumé de votre personnage, afin de vous trouvez des liens avant votre validation. cette partie est totalement facultative, vous pouvez la supprimer si vous le souhaitez.

show me what i'm looking for
Melinda a remarqué quelque chose depuis un certain temps, ses parents ne s'entendent plus. Et en général, quand les parents ne s'entendent plus, ils finissent par divorcer. En tout cas, c'est ce que les parents de Joan ont fait. En même temps, Linda a remarqué que le père de Joan n'est pas franchement le type le plus sympa qu'on peut croiser à Kenaï. Surement pour cette raison que Linda n'aime pas aller dormir chez Joan, parce qu'au diner, les conversations ne sont pas agréables. Mais Linda, elle ne trouve pas que son père n'est pas sympa, au contraire. Et elle ne trouve pas sa mère chiante non plus. Alors y a des moments où elle se demande d'où vient le fond du problème, mais elle ne s'y attarde pas vraiment. Puis James n'a pas l'air de s'être rendu compte de quelque chose, du coup Linda se dit qu'elle doit imaginer des choses. Oui, ça doit être ça. James a sans doute raison, enfin c'est surtout ce qu'elle espère. De toute façon, elle n'a pas le temps de penser à ça, là tout de suite, elle doit aller au club de rafting pour aller emmener les enfants en ballade. Et quand elle arrive au club, elle garde ce même sourire qu'elle a tout le temps accroché à ses lèvres. Ca ne la dérange pas de travailler là, au contraire, elle aime bien les gosses. Ils ont l'air plutôt contents quand les eaux s'acharnent. Puis même si Linda adore Becca, elle sait bien qu'il ne faut pas trop compter sur elle pour trouver un travail. Melinda, elle, ça lui plait bien d'avoir un peu d'argent. Ca aide et sa famille et ça la rend un peu plus indépendante. Ca arrange tout le monde. Puis ce n'est pas désagréable de travailler avec les enfants, ils ne sont énervants, ils changent des gens du lycée. Quoique Linda n'est pas méchante, elle s'en fout des commentaires de certains. Aussi agaçants puisse-t-il être, ça lui passe carrément au-dessus. « T'as qu'à dormir à la maison ce soir, si tu veux. Je peux aller demander à ma mère maintenant, j'suis sûre qu'elle sera d'accord. » Dit Linda à Joan avec un sourire aux lèvres, Joan en a marre des disputes de ses parents: ils sont divorcés, mais sont voisins. Alors forcément Joan en a marre et Linda le sait. C'est pour ça qu'elle l'invite souvent histoire de lui faire oublier ses problèmes. « J'veux bien, merci! » Melinda hausse les épaules, lui répondant qu'il n'y a pas de quoi sans vraiment avoir besoin de le dire. Ca ne la dérange pas et elle sait que sa mère non plus, ni son père.

Linda regardait, écoutait son frère et sa soeur se disputer, tout en gardant un oeil sur leur mère. Fait: elle allait mourir. D'une façon ou d'une autre, dans quelques heures, elle ne serait plus là. Dans quelques heures, s'ils ne faisaient rien, elle allait se transformer. Se transformer comme ces choses qui venaient d'envahir les rues de leur ville. Becca ne faisait que balancer des arguments invalides. Leur mère souffrait et ils pouvaient faire quelque chose pour l'aider. Dans tous les cas, elle n'allait pas s'en sortir. Alors à quoi bon la laisser souffrir en vain? Celle qui manquait de coeur, ici, c'était Becca. « James a raison. » Melinda avait besoin de le dire, de s'exprimer, de faire comprendre à leur soeur qu'elle le soutenait à lui dans ce combat, combat déjà perdu, peu importe ce qui allait en résulter. Où était leur père? Bonne question. Question que Melinda se posait, se disant que s'il ne revenait pas dans les heures qui suivent, cela ne voulait dire qu'une chose: que lui aussi était mort. Assise dans un coin de la pièce, Linda se demandait d'où lui venait ce calme. Pourquoi elle ne courrait pas dans tous les sens, à croire qu'elle comprenait déjà suffisamment l'ampleur de la situation pour ne pas partir, elle aussi, en pleine crise de nerfs. Becca semblait flancher, un peu trop, et ça n'aidait pas. Que Tamara puisse s'en sortir? « Comme ceux qui trainent dans les rues, tu veux dire? T'appelles ça s'en sortir, toi? » Linda secoue la tête dans la direction de sa soeur, reprenant pied, sortant de son foutu coin pour réagir avec plus de véhémence envers sa soeur, se levant pour aller s'approcher de Tamara et croiser le regard de sa mère rempli d'une douleur à laquelle la benjamine avait du mal à faire face. Pendant plusieurs secondes, elle s'y perd, dans ses yeux et se dit que oui: il faut faire quelque chose. Que non: ils ne pouvaient pas la laisser comme ça. Et que oui: Becca a tort. Totalement tort. Il fallait aider Tamara et non pas entrer dans des émotions, des sentiments qui ne leur appartenaient pas. Question de charité. Vouloir la garder en vie, la laisser souffrir, c'était de l'égoïsme pur et simple. « Tu vois bien qu'elle ne va pas aller mieux, non, Becca? Regarde-la bien, tu ne vois pas qu'elle souffre? Qu'elle ne s'en sortira pas? Merde, il faut faire quelque chose. L'aider. James a raison. Faut abréger ses souffrances. » Usage d'un euphémisme, histoire que ce soit plus facile à encaisser. Pour Becca, James et elle-même. Utiliser des mots plus doux, moins barbares, pour se rassurer, agir comme si ce n'était pas aussi grave que la situation laissait paraitre. Sauf que si, la situation était grave: leur mère allait mourir, leur père n'était pas là et ils allaient se retrouver tous les trois ensemble dans un monde qui n'était plus le même.

Il y a encore deux mois de ça, Linda ne s'imaginait pas vraiment en train d'enfoncer une barre de fer dans le crâne d'un mort-vivant. Ceci dit, c'était pourtant bien ce qu'elle venait de faire à l'instant. Et ce n'était pas la première fois. Il a encore deux mois, elle ne pensait pas qu'elle serait douée avec les armes blanches et pourtant elle l'était. Plus douée que son frère ou sa soeur pour tuer des rôdeurs qui leur couraient après. La vie était finalement pleine de surprise et actuellement, elles étaient plutôt mauvaises pour un opinion général normal, mais bonnes pour le monde dans lequel ils vivaient à présent. Certaines choses lui manquaient terriblement, mais elle n'en disait rien, préférant penser au moment présent pour mieux pouvoir survivre. Mieux protéger les siens. La base militaire, voilà où ils se trouvent maintenant. Linda a du mal à savoir s'ils sont vraiment en sécurité, s'ils peuvent vraiment correctement survivre ici. Mais son frère et sa soeur semble s'y trouver à leurs aises alors Melinda tente de faire de même. Quoique sa sociabilité ne semble pas être bien productive. Plutôt en train d'observer ce qu'il se passe, les gens et à garder un oeil sur sa famille, l'air de rien. « T'es muette? » Linda tourne le tête, surprise, ne s'attendant pas vraiment à ce qu'on vienne lui adresser la parole alors qu'elle passe son temps dans son coin, à l'aise dans le rôle de la Chatterton à qui il ne vaut mieux pas venir adresser la parole si on ne veut pas subir un courroux encore non-apprivoisé. Appelez-ça l'instinct de survie, ou bien méfiance face à un monde qu'elle a encore du mal à suivre. « Ca te regarde? » Répond Melinda, n'ayant pas forcément envie de discuter avec un type qu'elle ne connait pas. En fait, dans le fond, son problème c'est qu'elle ne comprend pas à quoi ça sert de créer des liens, l'utilité de se faire des nouveaux amis. A quoi bon? Si c'est pour les voir mourir sous ses yeux comme sa mère, alors autant garder ses distances. Autant ne rester attachée qu'à sa famille et ne pas avoir à s'inquiéter pour d'autres personnes. « Non, mais je me disais que ça te ferait pas de mal de discuter avec quelqu'un. » Tu penses mal, se dit Linda en lui lançant un regard noir. Elle n'a pas envie de discuter avec quelqu'un, parce qu'elle n'a pas envie d'avoir à se soucier d'une personne de plus. Elle n'a pas envie, tout simplement. Alors elle lui tourne le dos et s'en va dans un autre coin, histoire de pouvoir baigner dans une solitude palpable tout en sachant qu'elle a déjà assez de personnes desquelles elle doit se préoccuper.

Certains regards ne trompent pas, comme celui annonçant à Linda qu'elle et sa fratrie devait quitter la base. Un cadavre venant percer l'atmosphère pourtant si paisible de la base. Aussi paisible pouvait-elle être, bien entendu. Alors ils sont partis, sans que cela dérange particulièrement Melinda. De toute façon, le seul vrai ami qu'elle s'était fait ici avait été tué par un rôdeur. Alors elle a accepté le départ. Elle a aussi tué des rôdeurs sans aucun état d'âme sur la route qui les a mené dans un hôtel. Cinq heures de route, plus exactement. La marche ne dérangeait plus vraiment Melinda, de toute façon, ils n'avaient pas le choix. C'était ça ou mourir dévoré par des foutus morts-vivants qui n'allaient absolument pas hésiter à les tuer. Alors pourquoi hésiterait-elle, elle? Dans cet hôtel, Linda a trouvé une nouvelle arme, gardant cependant précieusement sa barre de fer qui lui a bien servi pendant tout ce temps. Une hache. Plus efficace, plus rapide. Mais ils ne sont pas restés longtemps dans cet hôtel, partant à nouveau vers une nouvelle ville. Juneau. Sans pour autant se poser dans un nouvel endroit. Sans pour autant trouver un nouvel endroit stable. Des nomades. Sans port d'attache. Juste la famille. Un groupe restreint. Ceci dit, il y a eu ce moment où Melinda a su retrouver le sourire. Son père. Vivant. Chose qu'elle n'attendait pas, qu'elle n'attendait plus depuis le deuxième jour de l'invasion. Pas très optimiste, Linda, plutôt du genre à avoir des attentes plutôt basses ces derniers temps. Retrouver son père était en soit une nouvelle franchement rassurante. Et même si les Chatterton bougent sans arrêt, même si elle n'a pas l'impression d'avoir des liens aussi fort avec son frère, même si elle a l'impression qu'ils ne se parlent pratiquement plus, tout, elle sait qu'elle ferait tout pour les protéger quand même. Elle sait qu'elle suivrait son frère n'importe où. Parce que c'est ça, la famille. Et c'est ça, la survie.

Bienvenue parmi nous! La famille Chatterton s'agrandie, c'est génial!
Bon courage pour ta fiche. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas!
Plus un pour la jolie demoiselle de ton avatar... J'ai hâte de voir ce que tu vas faire avec!

Je te réserve ton avatar!

bienvenue ! j'ai hâte de voir comment tu vas t'approprier ce personnage
lindsey est vraiment super belle, bon choix d'avatar

BEBE CHATTERTON
je ne l'imaginais pas du tout avec Lindsay, mais j'trouve ça vachement intéressant et Lindsay est

bienvenue ici, bonne chance pour ta fiche, et je viendrai te réclamer un lien très prochainement (#squatteuse officielle des Chatterton spotted )

Merci à tous, vous êtes adorables!
Par service rendu, je prends Shelley
J'ai hâte de pouvoir rp avec vous!

Baby Chatterton avec Shelley la trop belle en plus Bienvenue parmi nous

Merci beaucoup!

SHELLEY/DYLAN EN FRERE ET SOEUR OMG J'ADORE L'IDEE.

*disparaît *

J'aime bien aussi

J'ai changé ta réserve d'avatar dans le bottin du coup.

Merci beaucoup!

Merci beaucoup et ce sera avec grand plaisir pour le lien!

MDR! Merci beaucoup, futur beau-papa! J'ai hâte de pouvoir faire un rp avec toute la miff

Merci beaucoup!