(M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER › I don't care about our bad reputation.
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Nola Johnson
✤ en ville depuis le : 11/04/2015 ✤ post-envoyés : 31 ✤ pseudo/prénom : .portishead ~ océane. ✤ célébrité : marie avgeropoulos. ✤ objets : un 9 mm ~ ton couteau à cran d'arrêt ~ un zippo représentant une voile de bateau ~ une trousse de premiers secours ~ une croix ~ un paquet de lucky strikes ~ un ours en peluche ~ quelques photos de famille ~ une bouteille d'eau ~ un roman d'ernest hemingway ~ des biscuits. ✤ crédits : schizophrenic.✤ âge : vingt-huit ans. ✤ statut : mère célibataire. ✤ humeur : tendue.
don't look back ✤ nombre de personnes tuées: aucune. ✤ nombre de rôdeurs tués: tu as préféré cesser de compter il y a bien longtemps. ✤ relations:
Sujet: (M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER › I don't care about our bad reputation. Dim 19 Avr - 18:31
Francis Coleman
Somebody stepped inside your soul.
Nom › Coleman. Prénoms › Francis, autres prénoms au choix. Date et lieu de naissance › au choix, mais il doit être Américain. Age › au moins trente-et-un ans. Situation › veuf. Orientation sexuelle › hétérosexuel. Ville de départ › Portland, Maine. Ancien métier › au choix, même si je le vois davantage dans un métier manuel. Capacités › maîtrise d'armes, endurance, combat. Caractère › taciturne ~ loyal ~ attachant ~ protecteur ~ téméraire ~ tactique ~ raisonné ~ entier ~ paternel ~ brisé ~ fataliste ~ distant ~ méfiant. Groupe › Soldiers. Rôle › éclaireur, il deviendra par la suite membre de la Garde. Avatar › Michael Fassbender, négociable. Crédit › fuckyeahfassbender.tumblr
Avant le début de l'épidémie, Francis élevait seul sa fille. En effet, son épouse serait décédée quelques années auparavant, les laissant tous les deux. ~ Toutefois, cet enfant aurait également trouvé la mort, d'une manière ou d'une autre, suite à l'épidémie. ~ Cette mort aurait fait de lui une véritable loque, envisageant le suicide. En effet, la perte de sa fille a été insurmontable. ~ Seulement, alors qu'il croyait être le seul vivant, il a aperçu une petite fille, derrière la fenêtre d'un appartement. Il s'agissait d'Emma, la fille de Nola. ~ Francis est allé à la rencontre des habitants de cet appartement : Emma, Nola, et la sœur de celle-ci, Joan. L'accueil a été froid, Nola et Joan se montrant méfiantes, mais elles l'ont autorisé à rester parmi elles quelques jours. ~ Se révélant efficace dans le domaine de la survie, Francis est resté durant plusieurs semaines, se montrant discret, taciturne, mais sans mauvaises attentions. ~ La seule personne avec qu'il avait, à l'époque, véritablement développé un lien, est Emma, la fille de Nola. Âgée de quatre ans, celle-ci lui rappelle sa propre fille. Il s'est fait un devoir de la protéger. ~ Lorsqu'il a décidé de reprendre la route, Nola l'a convaincu de les emmener avec lui. Il a accepté, s'étant bien plus attaché à ces trois personnes qu'il ne l'aurait voulu. ~ Joan a été mordue durant le périple. Lorsqu'il a fallu l'abattre, c'est Francis qui a dû s'en charger, voyant Nola incapable de le faire. ~ Un rapprochement tacite entre les deux s'est exercé. Devenus pratiquement des intimes, ils n'ont pas besoin de parler pour se concerter, savent exactement comment fonctionne l'autre. Leur relation est plus qu’ambiguë, ils passent aisément pour un couple, sans en être un pour le moment. ~ Cela fait quelques semaines qu'ils sont au bunker. Si Nola voit cet endroit comme une bénédiction, Francis demeure plus méfiant. Toutefois, il se fait discret, gagnant la confiance de la hiérarchie ici tout en se préparant à fuir avec Emma et Nola au cas où cela tournerait mal.
we are the leftovers
Nola Johnson, you're my everything;
Elles sont toute sa vie, à présent. Nola et Emma. Deux êtres à protéger, à chérir. Les débuts avec Nola ont été difficiles. Elle était méfiante, curieuse, bavarde. Lui, silencieux, renfermé. Autant dire qu'il était difficile de communiquer. Mais, curieusement, un lien s'est tissé entre eux, petit à petit. Une forme de complicité provoquée d'abord par la relation entre Francis et Emma, mais qui a dépassé ce stade depuis longtemps. Ils se connaissent mieux que personne, anticipant les actions de l'autre. Pas besoin de mots pour décrire ce qu'ils ressentent, chacun devine aisément. Il lui a appris à tenir une arme entre ses mains, elle est ce qui lui permet de demeurer un être humain. Ils se complètent, ont tout d'un couple sans en être un. Des sentiments forts les attachent, mais ils n'ont jamais dépassé le stade de compagnons dans cette apocalypse. Pourtant, il n'imagine plus sa vie sans elle, se soucie d'elle, de sa fille.
Spoiler:
Tu tamponnes doucement la plaie. « Ne bougez pas, » murmures-tu à l'intention de Francis. Celui-ci demeure silencieux, ne bougeant pas d'un pouce. Son éternel calme te surprend. Tu es incapable d'en faire autant. Le silence est quelque chose qui te terrorise, depuis le début de l'épidémie. Il n'est synonyme que de mort. Cloîtrée dans cet appartement depuis presque le début, tu espères en réchapper. Tant que tu le pourras. « J'étais infirmière, avant tout ça, » ajoutes-tu, meublant ce silence qui t'est insupportable. Tu entends sa respiration. Francis demeure un mystère pour toi. Cela fait maintenant plusieurs semaines qu'il vit avec vous, dans cet appartement. Tu ne sais rien de lui, ou presque. Seule Emma semble communiquer avec Francis. D'ailleurs, les rares fois où tu distingues une émotion sur leurs visages, ce sont les fois où ils sont tous les deux. « Cela vous arrive, de parler ? » demandes-tu finalement. Tu peux percevoir comme un changement dans son regard. Il te paraît moins renfermé, moins dans cette torpeur dont seule Emma arrive à le tirer. « Je pars demain, Nola. » Tu en laisses tomber ta compresse à terre. Non, ce n'est pas possible. Il ne peut pas vous laisser. Vous avez besoin de lui. Toi. Emma. Joan. Il n'a pas le droit. « Comment ça ? » Son arrivée dans cet appartement a changé vos vies. Avoir un homme à vos côtés n'est pas négligeable. Francis est une personne se rendant utile, n'hésitant pas à prendre des risques. Votre quotidien s'est amélioré depuis son arrivée, et pas que matériellement. « Il n'a jamais été question que je reste, et tu le sais, » murmures t-il fermement. Tu attrapes un nouveau morceau de tissu. Oui, c'était bien ce qui était prévu. Que Francis ne reste ici que pour quelques nuits, pas plusieurs semaines. « Je m'en fiche. On a besoin de toi, Emma a besoin de toi. » Depuis le début de l'épidémie, tu l'as revue sourire. Depuis que Francis est avec vous. Quelque chose qui t'échappe fait que ta fille et cet homme bourru se sont trouvés, d'une certaine manière. Ton sang se glace alors qu'il attrape ton poignet. Fermement, mais pas violemment. « Ce dont Emma a besoin, c'est de sa mère, Nola. » Tu sens une sincérité qui t'étonne de sa part. Ses mots ont un poids, une force qui te touchent personnellement. Tes doigts attrapent les siens, tu ne te l'expliques pas, tu en ressens le besoin, c'est tout. « Alors, emmène-nous avec toi. » La réponse est venue de la plus spontanée des manières. Tu ne sais pas d'où cela peut venir, seulement, il semble que l'idée de ne plus jamais le revoir t'est insupportable, à toi également. « Nola. » Tu vois sa mine changer. Tu peux le faire céder, tu en es certaine. Tu en es capable. Francis n'est pas insensible à tout cela. « Tout homme a besoin d'une famille. On ne peut pas vivre sans famille. Et, à l'heure actuelle, on est ce qui s'en rapproche le plus pour toi. Tu ne pourras pas partir sans nous emmener avec toi, Francis. » Alors, tu observes sur son visage ce qui ressemble à l'esquisse d'un sourire. Quelque chose de très faible, mais qui te confirme le fait que cet homme ne soit pas dénué de sentiments. Quelque chose a changé dans son regard. Au fond, tu le sais, même s'il ne l'a pas encore dit : c'est ensemble que vous partirez.
Tu les observes tous les deux, Francis et Emma. Ils sont tout ce qu'il te reste. Tu as la gorge serrée, alors que tu y songes. Joan n'est plus. L'idée de devoir continuer sans elle te semble impossible, digne de n'importe quelle fiction cauchemardesque. Alors, tu restes-là, dans cette voiture, derrière la vitre, à les observer. Emma ne peut pas comprendre l'ampleur de la chose. Elle n'a que quatre ans. Tu l'envies. Cette naïveté, cette inconscience du monde tel qu'il est te fait envie. Toi aussi, il y a de s jours où tu aimerais avoir de nouveau quatre ans. Quant à Francis, tu admires profondément sa façon d'être, et ce, même si tu es sûre qu'il cache un lourd passé. Tu crois penser qu'il a perdu des gens. Vous ne l'avez jamais évoqué, mais tu le ressens. Finalement, tu sors de la voiture. Tu as le temps de te regarder dans la vitre, et ce que tu peux constater, c'est que tu es affreuse. Tes cheveux sont sales, tes yeux bouffis, ta peau en pleine cicatrisation. Tu te détestes pour être encore en vie. Joan était bien plus à même de se débrouiller. Toi, tu n'aies que la mère d'Emma, cette forme d'espoir qu'est ta fille. Tu n'as pas l'impression d'être utile. Tu n'as pas su sauver ta sœur. Cette pensée te hante, tout comme le fait que tu n'aies pas su l'empêcher de changer. Que lorsqu'elle est revenue, c'est Francis qui a dû agir. Parce que, ça non plus, tu n'en as pas été capable. Tu t'approches d'eux. Emma joue au milieu d'une terre argileuse. « Qu'est ce que tu fabriques ? » demande Francis, un sourire aux lèvres. « Des gâteaux au beurre de cacahuètes, » répond alors ta fille dans un éclat de rire. Celle-ci ne quitte pas ses constructions des yeux, même pour Francis. « Tu me fais un câlin ? » La demande de Francis te décroche un sourire, tandis que les larmes coulent le long de tes joues. Il s'occupe mieux de ta fille que tu ne l'as jamais fait. En particulier ces derniers jours. Joan est morte, et toi, tu es devenue une loque, incapable de t'occuper de ton enfant. Tu te rapproches doucement, silencieusement. « J'ai les mains collantes, je ne vais pas salir ta veste, quand même ! » proteste Emma. Alors, tu vois Francis attraper ta fille par la taille, au moment où elle s'y attend le moins. Celle-ci s'accroche à lui, se blottissant dans ses bras. « Elle est bien mieux ainsi, n'est ce pas, Nola ? » entends-tu alors, avec surprise. Toi qui pensait observer la scène dans l'anonymat total, c'est raté. Alors, tu essuies tes larmes d'un revers de la manche, réduisant la distance qui te sépare d'eux. « Oui, elle est bien mieux. » Tu peux sentir sa main sur ta joue. Celle de Francis. Une proximité s'est installée entre vous, petit à petit. Il n'y a plus besoin de mot pour savoir. Il le sent, que tu ne vas pas bien. Et pas seulement parce qu'il l'imagine, il le ressent. Comme toi, tu ressens ce qui le tourmente. « Tu te sens prête ? » Tu hoches la tête. Il vous faut repartir, continuer vers l'Alaska.
Courir. Ne pas se retourner, ne pas chercher à comprendre. Échapper aux rôdeurs, tant que tu le pourras. Tu serres ton poignard entre tes mains, prête à te défendre comme une lionne, jusqu'au bout. La seule chose dont tu es sûre, c'est de ta volonté de vivre. De voir le prochain lever de soleil, de continuer à vivre, pour Emma, avec Francis. Tu te refuses à les laisser. Tu sais qu'il veillera sur elle. Tu lui confies sa vie, sans doute. Mais, tu ne veux pas partir. Tu veux la voir grandir, la voir devenir une femme. Tu veux vivre, toi aussi. C'est en ces choses que tu trouves la force de courir, malgré la douleur envahissant tes membres, malgré ta respiration saccadée. Tu les as perdus de vue depuis un moment, maintenant. L'hypothèse qu'il leur soit arrivé quelque chose t'est insupportable. Tu dois sauver ta vie, mais aussi les retrouver. Tu espères seulement qu'ils ont pu échappé à cette horde de rôdeurs. L'Alaska n'est vraiment pas ce que tu croyais. Tu avais pensé que le climat défavoriserait ces choses. Grossière erreur, car elles semblent insensibles au froid, contrairement à toi. Toi, qui supporte très mal les conditions du milieu. Toi, qui sort d'une vilaine grippe qui vous a considérablement ralentis. Toi, qui te retrouve cernée par les rôdeurs. Toi, qui, malgré ta faiblesse, lutte. Tu plantes ta lame au sommet de son crâne, atteignant le cerveau. Tu as l'impression que la scène se déroule au ralenti. Mais, malgré ton ardeur, tu es prise au piège. Ils sont trop nombreux. Les coups s'enchaînent, tu refuses de te laisser aller, de baisser les bras. Tu te battras jusqu'au bout, même si tes chances de t'en sortir vivante sont quasi nulles. Tu peux sentir leurs sales pattes sur toi, leur carcasses râler. Soudain, tes oreilles sifflent. Tu vois l'un d'eux s'affaler à terre. Tu halètes. Tu relèves la tête, pour voir non pas une, ni deux, mais trois personnes face à toi. Trois personnes lourdement armées, qui tirent sur ces rôdeurs, un homme avançant vers toi. Toi, presque à genoux, luttant pour ne pas t'écrouler complètement. « Tenez bon, c'est fini, » te dit-on, alors qu'une main se tend vers toi, t'aidant à te relever. Ta gorge est sèche, tu n'arrives pas à dire quoi que ce soit. Tu bredouilles, tu n'arrives pas à faire sortir quoi que ce soit de cohérent de tes lèvres. « Vous allez venir avec nous. » Tu secoues la tête. « Emma, Francis. Il faut que je les retrouve, » bafouilles-tu, frôlant l'hystérie. Non, tu ne peux pas partir. Tu n'iras nulle part sans eux. Ils doivent être en vie, et vous devez partir ensemble. Vous entendez alors des coups de feu. Tu n'as pas le temps de penser, que tu voles sur plusieurs mètres, entraînée par l'un de ces inconnus. Alors, tu vois leurs semblables, au bord de ce qui ressemble à une carrière. Ils tirent dans le tas. Puis, tu les aperçois. Francis et Emma. Francis luttant, un couteau dans une main, ta fille derrière lui, se servant de son corps comme rempart. Tu hurles, dans un mélange de panique et de souffrance. Tu refuses de les voir mourir. Tu voudrais descendre les rejoindre, te frayer un chemin parmi les rôdeurs, mais tu ne peux pas. On t'en empêche, tandis que ces inconnus tirent dans la masse. Alors seulement, le calme revient, lorsque le dernier cadavre ambulant s'affaisse au sol. Tu sautes, te fichant éperdument des conséquences. Tu les serres dans tes bras, les deux personnes les plus importantes de ta vie, pendant de longues minutes. Puis, on t'explique qu'il y a un bunker, à Juneau. Que vous y serez en sécurité. Qu'une communauté s'y est constituée. Et que vous allez la rejoindre.
Nola Johnson
✤ en ville depuis le : 11/04/2015 ✤ post-envoyés : 31 ✤ pseudo/prénom : .portishead ~ océane. ✤ célébrité : marie avgeropoulos. ✤ objets : un 9 mm ~ ton couteau à cran d'arrêt ~ un zippo représentant une voile de bateau ~ une trousse de premiers secours ~ une croix ~ un paquet de lucky strikes ~ un ours en peluche ~ quelques photos de famille ~ une bouteille d'eau ~ un roman d'ernest hemingway ~ des biscuits. ✤ crédits : schizophrenic.✤ âge : vingt-huit ans. ✤ statut : mère célibataire. ✤ humeur : tendue.
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Sujet: Re: (M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER › I don't care about our bad reputation. Dim 19 Avr - 18:35
on melancholy hill
Voici le scénario dans sa version définitive. Si vous décidez de le prendre, vous ferez une heureuse. Mais il faudra prendre en compte que le personnage de Francis est très important pour l'évolution de mon personnage, et si jamais vous avez envie de le prendre, il vous faudra être assez présent(e) Évidemment, nous avons tous une vie en dehors des RPs, mais je demande quelqu'un qui soit présent de manière régulière (qui vienne plusieurs fois par semaine). Ceci est le plus important pour moi, je ne suis pas très exigeante niveau RP. Tant que la personne qui prendra ce scénario prendra à cœur son rôle et aimera ce personnage au moins autant que je l'aime, ça m'ira parfaitement (je ne suis pas à la recherche du nouveau Voltaire) Si jamais vous avez des questions malgré ma fiche, n'hésitez pas à me contacter par MP
Michael Fassbender est négociable. Bien que j'imagine parfaitement le personnage avec cette acteur ( ), il y a toujours moyen de s'arranger (avec Michiel Huismann, Mike Vogel ... ). Je trouvais que l'acteur correspondait bien au personnage, mais je suis ouverte à d'autres propositions, tant que cela correspond à la tranche d'âge du personnage, le tout est que vous vous appropriez le personnage. Quant au pseudo, j'ai utilisé le prénom de Francis dans ma présentation et mes rps, car non seulement je l'aime beaucoup et je trouve qu'il lui va bien, mais le nom est totalement libre Je cherche surtout quelqu'un de motivé et qui a envie de faire évoluer son personnage en même temps que le mien, voilà. En espérant que ce scénario trouvera preneur, j'attends cette personne avec impatience
Francis O'Driscoll
✤ en ville depuis le : 19/04/2015 ✤ post-envoyés : 5 ✤ pseudo/prénom : W. ✤ célébrité : Bradley Cooper ✤ crédits : xxx
Sujet: Re: (M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER › I don't care about our bad reputation. Dim 19 Avr - 22:03
Bonsoir bonsoir
Je passais par ici et je suis tombé sur ton scénario .. et j'ai adoré Aussi je ne pouvais pas me permettre de passer à côté, donc je décide de tenter ma chance. J'essaie également avec Bradley Cooper en avatar, je trouve qu'il collerait bien au rôle, cependant, j'attends d'avoir ton aval avant d'aller plus loin !
A très vite
Nola Johnson
✤ en ville depuis le : 11/04/2015 ✤ post-envoyés : 31 ✤ pseudo/prénom : .portishead ~ océane. ✤ célébrité : marie avgeropoulos. ✤ objets : un 9 mm ~ ton couteau à cran d'arrêt ~ un zippo représentant une voile de bateau ~ une trousse de premiers secours ~ une croix ~ un paquet de lucky strikes ~ un ours en peluche ~ quelques photos de famille ~ une bouteille d'eau ~ un roman d'ernest hemingway ~ des biscuits. ✤ crédits : schizophrenic.✤ âge : vingt-huit ans. ✤ statut : mère célibataire. ✤ humeur : tendue.
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Sujet: Re: (M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER › I don't care about our bad reputation. Lun 20 Avr - 5:59
Bradley est parfait, je te remercie de tenter le rôle Si tu as des questions, n'hésite pas
Francis O'Driscoll
✤ en ville depuis le : 19/04/2015 ✤ post-envoyés : 5 ✤ pseudo/prénom : W. ✤ célébrité : Bradley Cooper ✤ crédits : xxx
Sujet: Re: (M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER › I don't care about our bad reputation. Lun 20 Avr - 6:39
Ah, parfait, je m'en vais attaquer ma fiche de ce pas ! Ravi que le choix d'avatar te plaise en tout cas
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Sujet: Re: (M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER › I don't care about our bad reputation.
(M/LIBRE) MICHAEL FASSBENDER › I don't care about our bad reputation.